Chapitre 3107

A cette idée, Quentin a serré les dents :

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– Euh bien, pour l’instant, tu ne devrais pas faire trop de dégâts avec l’armée gouvernementale. Puisqu’elle veut faire la paix avec Hamid, alors tu devrais également participer aux pourparlers de paix. Et il est préférable de pouvoir retarder le rythme et le progrès des pourparlers de paix. Mais si l’armée gouvernementale a pris sa décision, alors tu vas immédiatement montrer que tu ne feras jamais de compromis, laisse nos soldats continuer à monter la garde là–bas, et attends que j’achève mes affaires de ma part avant d’y aller régler le problème !

Lussier n’a pu que promettre en disant:

– D’accord, alors je vais d’abord rencontrer le représentant d’Hamid cet après–midi pour voir quelle est leur attitude.

Bien, a dit Quentin, quoi qu’il en soit, tu dois retarder Hamid et les forces gouvernementales, et ne jamais les laisser conclure un accord en privé. Si les forces gouvernementales ne peuvent pas attendre pour se retirer, dis–leur que moi, Quentin Tremblay, je garantirai sur mon propre honneur que peu importe le nombre de réserves stratégiques d’Hamid, je m’occuperai de lui avant la fin du mois de novembre. Je crois qu’ils ont confiance en ma force!

L’heure des pourparlers de paix était fixée à 15 heures cet après–midi, et quant au lieu, il était fixé à la base de Lussier et le commandant des forces gouvernementales. Cependant, on n’avait

qu’Hamid ne déclenche directement une série de tirs d’artillerie intensifs à cette coordonnée à ce

promettre explicitement que tous les soldats ne tireraient pas sur l’hélicoptère.

connaisse

Clément avait pris sa décision, et il savait qu’il ne pourrait plus le persuader, il ne pouvait donc que l’envoyer à l’hélicoptère, et lui a

Clément, j’attends que tu

a acquiescé et a dit

Chappuis, et quand je reviendrai, je l’emmènerai dans l’avion pour rentrer dans

bien, a répondu Hamid, rassure–toi, je

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