Chapitre 3185

Pendant ce temps, Quentin, qui se trouvait également à la Cité Y, n’arrivait pas à dormir. Juste après midi, il est resté longtemps perdu dans ses pensées, en fixant le calendrier.

La chute de Lussier et de plus de 10 000 soldats du Dragon Noir en Syrie l’avait mis en colère, mais à mesure que le 5 avril se rapprochait, il ne se souciait plus de la situation de Lussier, ni du choc que cette défaite avait porté au Dragon Noir. Il ne pensait plus qu’à venger ses parents.

Quentin est sorti de sa chambre et est resté dans la cour, regardant les dizaines de cercueils dans la cour. A ce moment–là, son bras droit, Vérany, s’est approché et lui a demandé

Maitre, pourquoi ne vous êtes–vous pas encore reposé ?

Quentin a murmuré

Je ne peux pas dormir. Si Méverin vivait encore, je lui couperais la tête devant la tombe de mes parents!

Vérany s’est empressé de dire:

n’avez pas la peine de penser ainsi, si ce Méverin avait vécu jusqu’à présent, n’aurait–il pas vécu vingt ans

mort à cause d’un accident de route, c’est très horrible, on dit que tous ses organes ont été heurtés par le coup, et pire encore sa femme était coincée dans le côté passager et brûlée à mort.

doucement la

de penser qu’ils sont morts

Vérany a dit,

porter ces cercueils avec des gens aux

de la main et

plus, je vais faire comprendre aux Huet qu’une grande catastrophe se rapproche, mais aussi à toutes les familles de la Cité Y que

retourné !

il a fixé les cercueils et a dit avec dédain:

les Huet dormir tranquillement une dernière fois et demain matin, à

Maitre

avance ou en retard. Mais aujourd’hui, tout était différent pour lui S’il souhaitait devenir

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