Chapitre 3287

Clément a plissé le front, puis s’est tourné vers Théodore pour lui poser une question:

– M. Théodore, as–tu apporté ton poignard avec toi ?

Théodore a répondu respectueusement:

– Oui, je l’ai bien pris, M. Clément.

Après ces mots, il a sorti un petit poignard extrêmement tranchant de sa ceinture et l’a tendu à Clément.

Ce dernier a pris le poignard et l’a jeté devant Quentin, puis a parlé d’un ton calme :

– Considérant que tu es encore un bon fils, je te promets que, après ta mort, je ne maltratriterai pas tes parents et toi. Au contraire, je rendrai grâce pour le mal et t’enterrai aux côtés de tes parents. Tu peux partir en paix.

Ces mots ont finalement apaisé Quentin, qui a esquissé un sourire de soulagement en regardant Clément.

Il s’est incliné profondément une fois de plus.

il est resté penché un moment avant de se redresser, et a exprimé sa gratitude

pourrai jamais rembourser cette dette de toute ma vie. Dans ma prochaine existence, je serai prêt à vous donner tout ce

a pris le

cœur de toutes ses forces, presque tous

faites pas ça, maître

les plus loyaux et leur a adressé un sourire

chacun d’entre vous. J’espère que vous pourrez me pardonner davantage

Clément et de la famille Huet. Si vous choisissez de continuer en tant que mercenaires, vous ne pourrez plus revenir dans le Pays C, et vous ne devez pas perturber la paix

tous ses soldats ont éclaté

prêt à donner sa vie, et ces dernières recommandations représentaient son ultime adieu. Une personne

reste, mais pourquoi ne nous permettez–vous pas de retourner dans le Pays C ? Si nous n’y sommes pas autorisés, nous

visage de Quentin, et il a répondu

C’est l’intention qui compte, mes frères. Que vous me

il a ajouté:

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