HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 3610

Clovis avait l’air de voyou. Cet air n’était généralement pas effrayant, mais plutôt un peu ridicule dans les yeux des gens qui avaient vraiment vécu la mort, et qui avaient traversé de grandes tempêtes.

Mais une fois qu’il se trouvait chez lui, son air de voyou le rendait énormément puissant.

A cet instant, Clovis se tenait devant la cage en fer dans son chenil, comme une hyène africaine dans sa savane sans fin ! Ici c’était son territoire. Même un lion, le roi de tous les animaux, aurait la chair de poule à la vue de sa férocité. Parce que cet anima! était féroce malgré son apparence banale. L’hyène africaine n’avait peur de personne, n’importait qu’il s’agisse d’un lion ou d’un hippopotame, et elle était capable, comme personne d’autre, de mettre en œuvre les tactiques les plus impitoyables et les plus brutales du règne animal.

Ce groupe d’agents n’était pas moins exposé au danger, voire arrêté et capturé, mais c’était à l’ère de la paix, et si un agent était arrêté, c’était généralement en raison de la médiation politique privée entre les pays.

Quant à l’agent capturé, non seulement il ne serait pas torturé, mais il bénéficierait également d’un meilleur traitement humanitaire que les prisonniers.

Cependant, ils étaient maintenant confrontés à Clovis, qui se fichait du traitement humanitaire et de ce qu’ils parlaient. Il pouvait faire souder une muselière et les obliger de la porter, ce qui ne laissait aucun doute sur le fait que si les agents continuaient à le provoquer, il pourrait vraiment les enfermer tous dans un cercueil.

De plus, de toute leur vie, ils n’avaient jamais été en prison comme ça, dans une cellule dont la porte était soudée… Cela ne leur laisserait aucun espoir.

ce moment-là, Clovis, regardant froidement la porte de fer complètement soudée, a ricané et ordonné

donnez qu’un seul repas par jour. Le repas doit être aussi faible en gras et en glucides que possible, et toutes les heures, donnez-leur une douche froide, et torturez-les jusqu’à l’épuisement, de sorte que non seulement

subordonnés ont accepté d’une voix forte, tandis que les agents ont eu l’impression d’être soudainement tombés

leurs forces et leur volonté tout en interrompant leur période de repos. Ainsi, avec le sommeil de base pas garanti, même un homme

pris la parole:

à

a éclaté de

idée, M.

ses acolytes et leur a dit :

Vous avez tous entendu ce que M. Édmond a dit hein? Préparez les laxatifs pour eux !

! a répondu un

redemandé à

–

a plus