Chapitre 4154

Entendant les mots d’Ardouin, Clément a éclaté de rire.

Il a montré du doigt la place où Ardouin avait été assis et a dit d’un air tout glacial:

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– Dès mon entrée, tu restais là à me nenacer avec des paroles vicieuses, et surtout d’un air très supérieur ! Mais maintenant, tu implores ma pitié comme un chien qui mendie de la nourriture, Ardouin, je ne sais pas tel que tu es vraiment !

Voyant que Clément avait la dent dure, Ardouin ne pouvait que dire timidement :

  1. Clément, je suis vraiment désolé de vous avoir offensé, et je vous demande sincèrement pardon pour ça… Clément a dit d’une voix froide :

-Écoute, je peux supporter les menaces contre moi, mais je ne tolère pas que tu me menaces de tuer ma famille !

Ardouin a aussitôt dit d’un air épouvanté :

– M. Clément… je n’ai pas dit de tuer votre famille !

qui l’a dit ? a demandé Clément en fronçant

1

s’empêcher de tourner les yeux vers son fils Maret, qui avait menacé Clément de tuer

parce qu’il avait peur de recevoir des gifles comme l’avait subi Bédéric !

croisant le regard d’Ardouin, Maret était encore

rien pour Clément qui avait battu si facilement Bédéric, alors naturellement, il n’osait plus le faire chier.

responsable de ce que tu as dit ! Dépêche–toi de présenter des excuses

Clément et a dit d’une voix étouffée:

Clément, je suis désolé d’avoir dit

levé les sourcils et

as dit des bêtises

la tête

sais, je le sais

dit en

tu le sais, hâte–toi de te gifler ! Ou tu veux que je te

cela, Maret se disait furieusement

ose–t–il ?! » Voyant que Maret restait silencieux, Clément s’est directement levé et de

qui couvrait le parquet. Heureusement que ce tapis était doux

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