Chapitre 4164

À ce moment, Adolphe s’est approché avec deux plats: le canard rôti et le pigeon rôti.

Il a déposé les plats devant Clément et Clothilde, et il leur a dit à voix basse :

– M. Clément, Mlle Clothilde, mon vieux client et le policier Anderson sont là, vous feriez mieux de ne pas descendre pour l’instant. -Adolphe, Anderson ne t’a pas reconnu ? a demandé Clément tout agité.

Non, il ne m’a pas reconnu. Mon look de ce jour–là est complètement différent de mon look habituel, et il ne m’a vu qu’une seule fois, donc ça ne doit pas être facile pour lui de me reconnaître.

Entendant cela, Clément s’est soulagé et a demandé avec curiosité:

-Adolphe, connais–tu l’homme d’âge moyen qui est venu avec Anderson?

Adolphe a secoué la tête et a dit :

C’est un client habituel, mais je ne sais rien sur son identité. Il n’en a jamais parlé et je ne le lui ai jamais demandé.

Cela dit, il a ajouté :

– D’après moi, il doit avoir un statut très prestigieux. Mais M. Clément, tu le connais ?

par peur qu’Adolphe en soit trop étonné pour paraître normal devant Cormier,

peux demander à ton employé de

bien, vous pouvez manger, et je vous apporterai moi–même les autres plats quand ils seront

Cormier et Anderson ont commencé à manger, et Adolphe a demandé à son employé de les

quelques gorgées de vin, Cormier

es où de ton enquête ? Ça avance

tête et a jeté un regard rapide autour de lui. En vérifiant qu’Adolphe

expliqué tout net la situation, mais ils m’ont quand

comme le proverbe le dit bien, pour les affaires du monde, ceux qui y sont entraînés ne voient pas

nous ! Ça fait déjà presque 48 heures depuis l’annonce des ravisseurs et il semble

dit sérieusement:

tu vas tirer au clair cette affaire

ce ne sera pas moi qui reconnaîtrai la vérité. Je crois que dès le moment où que je prendrai ma retraite avec une affaire pendante, ma renommée, que j’ai passé

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