Chapitre 4218

Pour Clément, la toute première condition pour assurer la prospérité d’une famille, c’était de cultiver son unité interne.

Le gros avantage de l’unité, c’était que quand tous les efforts concordaient, on pouvait eviter au maximum de gaspiller des efforts dans les luttes internes.

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Donc, même les membres d’une famille pauvre arriveraient à améliorer leur situation à condition de conjuguer leurs efforts. Au contraire, même s’il s’agissait d’une famille plutôt aisée, la faillite serait inévitable si on faisait d’importants efforts dans les luttes internes.

C’était aussi pourquoi Clément rappelait à Roselyne importance d’assurer la surveillance des membres de la famille pour anéantir toute lutte interne dans l’embryon.

Entendant les mots de Clément, Rosélyne a hoché la tête et a dit :

-D’accord, M. Clément, je comprends!

Clément, voyant que Roselyne semblait encore un peu troublée, lui a donné un regard d’encouragement et a dit sérieusement

précédent, mais je te fais confiance pour pouvoir en sortir la famille Brunelle. Rosélyne a dit

Clément, merci de vos encouragements, je vais faire tout mon possible pour aider la famille Brunelle à traverser au plus vite cette

a ajouté d’un ton

de la famille Brunelle dans l’avenir, faites–le–moi savoir, s’il vous plait ! On va

un signe de tête et a dit:

d’accord, je

vers Gervais qui se tenait à côté de Sétrien et a dit :

corps de la famille Brunelle, alors à partir d’aujourd’hui, c’est à toi de garder Mille Roselyne

Clément… je dois rentrer chez mon maître et Bédéric sera entièrement chargé de la sécurité de la famille Brunelle depuis aujourd’hui. Clément a dit en fronçant

Bédéric ? Le guerrier à cinq

a demandé tout

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rencontré, M.

dit en ricanant:

rester encore à genoux dans la salle à manger.

il regardait Maret et

va chercher Bédéric

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