HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 4349

Lorraine était transportée d’excitation par les paroles de la vendeuse. Elle sentait une énergie magique, une montée de dopamine dans sa tête, éperdue dans l’étourdissement, comme une jeune personne apprenant à fumer et inhalant profondément.

Elle ne pouvait s’empêcher de sourire de façon exagérée en regardant la vendeuse, l’adorant de plus en plus.

Mireille était déjà très douée pour lécher les bottes. Après avoir rivalisé avec Lorraine pendant tant d’années, elle avait eu le courage de se rapprocher d’elle quand même. Mais comparée à la vendeuse, Mireille semblait insignifiante.

Alors, dans un état d’excitation extrême, Lorraine s’est adressée à la vendeuse :

– Hey, mademoiselle, avec mon style, quel genre de collier devrais-je porter ?

–

Sans hésitation, la vendeuse a répondu :

– Je pense qu’avec votre style, vous devez porter notre pièce maîtresse de la boutique!

Puis elle a ajouté rapidement :

– Madame, veuillez patienter un instant, je vais aller demander au directeur de la boutique d’ouvrir le coffre-fort et de vous montrer notre pièce maîtresse !

Sur ces mots, la vendeuse s’est levée et dirigée vers la zone de bureau à l’arrière.

dans la zone de bureau, le directeur surveillait les caméras de sécurité en direct, observant la conversation entre

la vendeuse entrer, il a demandé, les

tu lui recommandes

a demandé

dit, de la pousser à dépenser le plus possible, n’est-ce pas ? Autant aller directement à la

directeur a secoué

–

que je sache, elle a à peine

était surprise :

vrai, directeur ! Vous avez des infos aussi précises, vous savez même

directeur a répondu

–

lui faire dépenser plus de 50 000 euros dans notre magasin, je te verserai 10 000 euros sur ton compte ! Si elle n’a pas assez, fais tout ton possible pour lui faire dépenser tout ce qu’elle a, même si

hoché la tête, faisant

directeur a ajouté

déjà pour elle, les billets de loterie sont en préparation, ils devraient être prêts vers 13 heures. Donc quand

vendeuse, étonnée, a demandé :

femme ? Pourquoi autant de

–