Chapitre 4358

Lorraine pensait que Mireille avait raison.

En falt, Clément et Chloé né la portaient pas dans leur cœur. Quand elle vivrait avec les deux aux États–Unis, elle ne pourrait sûrement plus jouir du traitement d’être vantée.

Cependant, avec Mireille qui agissait toujours comme une servante auprès d’elle, elle pourrait continuer à être servie.

A cette pensée, Lorraine a dit tout de suite au directeur de la boutique :

Pourrais–tu aussi demander un visa pour mon amie, et elle peut aller aux États–Unis avec moi ?

Le directeur a refusé sans hésitation:

Désolé, Madame, ce n’est pas possible. Nous ne fournissons qu’un billet et un service de visa pour une seule personne.

Lorraine a dit d’un air mécontent:

si je prends un taxi et que je veuille laisser mon

directeur a souri :

billet d’avion aux États–Unis est une prime que nous offrons et dont les règles d’utilisation dépendent de nous. Si vous voulez ce billet, vous devez vous conformer à nos règles, sinon nous considérerons que vous

n’a plus insisté, mais a dit :

Alors, j’y irai toute

elle ne savait

qu’elle a dépensé tout son argent ? Elle voulait les voir parce qu’elle

: elle devait d’abord susciter la compassion de

heures du matin aux États–Unis maintenant. Lorraine a hésité un moment, puis s’est déterminée à attendre

de cette première pour s’assurer qu’elle était profondément endormie.

s’informer de son identité. A la porte de l’hôtel, il y avait

Clément, il voulait descendre de la voiture pour ouvrir

a agité la main en signe de/refus, puis a accéléré le pas, a ouvert la porte, et

voiture.

il a demandé:

gars, ça va

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