Chapitre 64
Bien croyant les paroles de Clément, tous les présents avaient hâte de voir cette émission dans la télé. Sauf Davy, qui est revenu à l’esprit avec un visage tellement rembruni.
Quelle honte ! Il avait payé cher les gardiens qui étaient les entraîneurs de boxe qualifiés, mais… ils étaient tous battus en un clin d’oeil par un amateur qui n’avait pas de qualifications professionnelles requises !
En fait, Davy n’était qu’un profane, mais pour les gardiens, ils pouvaient sentir sa puissance dont Clément ne se vantait pas, car celui-ci n’avait même utilisé toutes ses forces. Effectivement, on ne devrait jamais le provoquer !
Alors, n’osant plus agir, les gardiens restaient là, l’air respectueux.
Cependant, Kyan à côté, un zéro en combat, pensait que Clément les avait battus seulement par ses forces. Il n’avait aucune idée sur sa vraie puissance
Clément a souri à Davy:
– C’est ton tour maintenant.
– Non, ne viens pas !
Effrayé et plein de sueurs froides, Davy a reculé quelques pas inconsciemment. Clément a poussé un grognement de mépris, en s’avançant vers lui. Celui-ci continuait à reculer, les yeux fixés sur lui avec peur.
Il se demandait pour combien de temps il allait être hospitalisé si battu par lui.
A ce moment-là, un BMW noir a roulé lentement dans la rue et s’est garé non loin. Le chauffeur a ouvert la potière pour la personne dedans.
L’ayant reconnue, Davy a été surpris en criant: – Alina ! Sauve-moi, je suis abattu !
Suivant son regard, Clément a vu une femme, en tenue de sport noire, au bout de la foule, se diriger vers eux. C’était une femme avec une parfaite taille emballée par la tenue collante, et un air en colère qui la rendait encore charmante.

– Mon dieu, c’est la cousine de M. Davy, Alina Barthélemy! a crié quelqu’un dans la foule.
Cela dit, tout le monde a inspiré d’étonnement. – Alina, ce type ose me battre, aide-moi à le battre ! Alina s’est approchée, a jeté un coup d’oeil sur les gardiens sur le sol, et a lancé un regard noir à Clément : – Donc, c’est toi qui les as abattus? – Ouais, et alors ? a dit Clément d’un ton indifférent.
Alina a ricané:
– Alors, fais des excuses à mon frère !
– Mais si je dis non? – Je vais te battre jusqu’à que tu le feras! Cela dit, Alina lui a donné un coup de pied vers son visage. Son mouvement était tellement rapide et plein de forces qu’il a bien surpris Clément. On dirait qu’elle était une combattante excellente ! Et les gardiens n’étaient jamais à sa hauteur.
Ayant beaucoup de confiance en sa cousine, Davy a dit intérieurement:
« Allez, on va voir comment ma cousine te bat à mort! » Pourtant, un instant après, il s’est écarquillé les yeux :
– Trop faible!
Avec un cri, Clément a esquivé tout de suite, et en même temps, il a donné un coup de pied sur le beau cul d’Alina avec un telle force qu’elle est tombée par terre.
Sur cette scène, Davy est resté bouche bée :
– Comment serait-il… possible !
Quant à Alina, à la fois furieuse et honteuse, ne pouvait pas accepter le fait qu’il osait battre son cul I pleine de colère, elle s’est levée et jetée sur Clément pour lui donner une grosse leçon !
– Alina, arrête ! Sols polie envers M. Clément !
Soudain, s’est apparu un homme de moyen âge qui a empêché Alina. Celle-ci a crié en rougissant : – Lâche-mol, papa! Laisse-moi le battre à mort!
Comment pourrait-elle laisser partir un voyou qui avait battu Bon cul ? Mals ça faisalt mal encore
– Ferme ta bouchel a reproché son père qui s’est retourné vers Clément on prenant une inspiration avant de dire d’un ton respectueux,
+ M. Clément, on revolt encore… Je quis vraiment désoloure que mag antante une not fohle wala laur donner una laron
Son attitude respectueuse a figé les deux qui regardaient cette scène avec incrédulité. Ils se demandaient pourquoi leur père, un gros personnage dans la Cité J, devait se montrer le respect à l’égard d’un voyou.
Clément a reconnu cet homme devant lui. C’était Joël qu’il avait rencontré. Alors, il a hoché la tête en disant:
– M. Joël, vous devez vraiment bien éduquer votre neveu.
Celui-ci a répondu avec un hochement de tête avant de reprocher ses deux enfants :
– Hey, vous deux, venez demander le pardon auprès de M. Clément !
– Demander le pardon à un salaud qui a battu mon cul ? Impossible ! a dit Alina en faisant une moue.
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