HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 84
On est arrivé au centre aux enchères bientôt.
C’était un bâtiment avec une coupole. Il y avait à l’extérieur des boutiques de sortes différentes qui entourait le domaine central aux enchères. Mis en application la dernière année, ce bâtiment était d’un style splendide
Suivant Gisele, Clément et Kyan ont pris l’ascenseur en glace jusqu’au cinquième étage. La portiere ouverte, devant leurs yeux s’est apparu une salle d’exposition artistique, dont les murs étaient décorés par les tableaux artistiques. C’était là, le domaine des enchères. Dans ce domaine, il y avait en avant une estrade couverte par un tapis rouge, dessous des sofas avec des bissons et des fruits en service.
Comparées aux enchères modestes de la dernière fois, celles-ci coûteraient plus de millions euros avec le logement et la décoration Evidemment, la Boutique des trésors était pleine de sincérités cette fois.
La loge privée réservée à Gisèle se situait au milieu au premier rang. Les trois s’y dirigeait lorsqu’ils ont entendu un bruit.
Clément a voulu se retourner pour voir ce qui se passait, mais a été poussé à côté par quelques-uns par derrière. Les sourcils froncés, il a vu venir un groupe de gens guidés par les gardiens.
– Mon dieu, voilà M. Grégory! a crié Gisèle légèrement avec étonnement.
Ce groupe de gens était tous les hôtes distingués qui entouraient respectueusement un homme au moyen âge, en une pèlerine sombre, l’air sérieux
Clément lui a jeté un coup d’oeil en murmurant :
– Alors c’est le M. Grégory, quelle allure ! Entouré par la foule, Grégory Jégou a donné un talisman jaunâtre au plus flatteur en disant avec indifférence : – C’est un talisman qui peut vous garder en sécurité. Tenez-le, c’est gratuit.
– Merci, M. Grégory.

Avec une grande surprise, ce flatteur a pris le talisman prudemment comme si c’était un précieux, en disant aux autres
– Les talismans de M. Grégory sont vraiment magiques et je les achète toutes les années. Grâce à M. Grégory, mes commerces se développent bien
Ces paroles ont irrité la jalousie des autres. Certains ont supplie Grégory qui, cependant, les a tous ignorés.
Sur ce, son assistant a poussé un grognement, puis a déclaré avec un accent méridional:
– Les talismans de M. Grégory, vous les trouvez si faciles à obtenir ? Ecoutez, chez l’équipe Changi, chacun coûte au moins deux cent mille !
Cela dit, un cri s’est entendu de la foule : – J’ai envie d’en acheter un, s’il vous plaît! – Moi aussi ! S’il vous plaît M. Grégory. – Deux cent mille, c’est rien ! J’en achète cing! Certains invités ont payé sur place les talismans de Grégory. – Prenez votre temps, un après un, a dit l’assistant avec impatience,
Sur cette scène, Clément n’a pu s’empêcher de dire : – Un talisman doit être si cher ? Mon dieu, quel prix ! Bien que sa voix ne soit pas haute, Grégory a levé la tête d’un coup et l’a regardé, les sourcils froncés. Il a poussé la foule et s’est approche de Clément en disant:
– Excusez-moi, j’ai entendu vos paroles et je voudrais savoir si vous êtes mécontent avec mon talisman. – D’après moi, votre talisman ne doit pas être si cher, a répondu Clément calmement. Ensuite, certains dans la foule lui ont réputé : – Tu sais quoi ? Le talisman de M. Grégory le mérite! – Exactement ! Même si ça coûte deux millions, c’est raisonnable ! – Oh la là, quel ignorant!
Un peu arrogant, Grégory a menacé avec un grognement : – Faites attentions à ce que vous dites. Sinon, vous le payerez.
Puis, il a fait une moue avec mépris avant d’entrer dans la salle d’exposition. Clément ne l’a pas du tout pris au sérieux, tandis que Gisèle l’a consolé avec embarras
– Ne le prenez pas au sérieux, M. Clément. M. Grégory est toujours comme ça.
Il a secoue la tête
– Allons-y.
Plus tard, tous les invités entrant dans la salle, l’adjudication s’est ouverte. Pour l’ouverture, Alex, propriétaire de la Boutique des
tresors, a donné un discours et a ainsi commencé les enchères.
Il y avait beaucoup plus de lots et d’invités que dans l’adjudication annulée. Deux dames de cérémonie ont poussé une voiture sur laquelle il y avait la première chose à vendre : c’était un encensoir en bronze d’un style classique qui fumait une odeur vraiment parfumée.
Le présentateur a montré le lot:
– Voilà un encensoir royal de l’époque de Louis XIV. C’était l’objet de collection d’un comte dans le château de Versailles. Regardez les details exquis, c’est vraiment artistique ! Surtout l’aromate dedans, cela venait de Perse et c’était rare dans notre ère.
En disant, il a fait éventer pour activer le feu. Une dame de cérémonie en tenue de soirée l’a fait et puis, la fumée blanche coulait de l’encensoir dont les détails brillaient par le feu. En même temps, un parfum exotique s’est répandu dans toute la salle où les présents avaient l’esprit ravi.
Sur ce, Clément a hoché la tête avec satisfaction :
– C’est effectivement le parfum persan dont la technique a disparu. Donc c’est rare maintenant.