Chapitre 151 

A ces mots, Clément a souri amèrement : – Il semble que tu essayes de te débarrasser de ta famille ? Gisèle a répondu avec un hochement de tête : – C‘est vrai. Mais j‘ai pas de choix. 

– Pourquoi pas ? a demandé Clément d‘un air sérieux, après tout, une telle crise va changer les idées de ton grand–père, non ? De plus, c‘est grâce à toi que j‘ai pu lui sauver la vie. Ce n‘est pas trop à lui demander la liberté je crois ? Pour le droit de choisir comme mari un homme que tu aimes, je ne pense pas qu‘il est si difficile à l‘accepter. 

Mais Gisèle n‘a que secoué la tête, l‘air déprimée. – Impossible. Mon grand–père n‘osera pas l‘accepter, même s‘il m‘aime beaucoup. 

– Pourquoi ça ? a–t–il continué, bien confus, en tant que chef qui gère toutes les affaires de tag famille, il n‘a aucune raison à avoir peur. 

Elle a essayé de lui expliquer : 

a une nombreuse lignée. Chaque famille se lie par les règles auxquelles on obéit pour maintenir l‘ordre. Si quelqu‘un ose les violer en choisissant celui ou celle qu‘on aime comme époux ou épouse, les autres finiront par imiter. Dans ce cas, les Poincaré vont certainement subir une perte cruelle. Une fois que les

de l‘époque des Bourdons à notre ère, c‘est principalement parce que tout le monde respecte les

ce, Clément a laissé

mais il s‘avère que je me suis trompé. Eh bien, personne ne pourra s‘échapper

le destin. Cela dit, elle a secoué la tête, ne

continuons à boire ! A la santé! a–t–elle dit en

l‘a figée un peu. A vrai dire, elle n‘avait jamais de liberté à faire ce qu‘elle voulait. Quelle vie, hein. Malgré la dépression, elle a esquissé un sourire en hochant la tête : – Ok, à la liberté ! Avant bu

un soupir :

tout dépenser, ce n‘est rien pour moi. Au moins, je serai beaucoup plus libre...

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