Chapitre 295 

Lorsque Vivian a entendu la question d’Albert, elle n’y a pas répondu, mais a regardé Ludovic d’un air assez embarrassé. 

Elle n’osait pas dire qu’elle n’avait pas de petit ami, après tout elle était maintenant la maitresse de Ludovic. Mais elle n’osait pas non plus déclarer qu’elle était la maitresse de Ludovic, après tout, Ludovic était déjà marié, et ça causerait des ennuis à Ludovic et aussi à elle-même si les autres apprenaient qu’elle était la maîtresse de Ludovic. 

Cependant, à la grande surprise de Vivian, Ludovic a dit à Albert avec un sourire : – Albert, à vrai dire, Vivian est ma maitresse, mais je te prie de ne pas le dire aux autres. 

Albert a immédiatement été déçu par les mots de Ludovic. Il ne s’attendait pas à ce que Vivian soit en fait la maitresse de Ludovic. 

Bien qu’il s’intéresse bien à Vivian, de toute façon il n’osait pas arracher la femme de Ludovic, donc il ne pouvait qu’en rejeter l’idée 

Naturellement Ludovic a remarqué la déception d’Albert, et il a poussé un cri de joie intérieurement. Mais extérieurement, il a demandé à Albert d’un air calme 

se porte ton père récemment ?

a soupiré et a dit :

pas en très bonne santé, mais tu sais, c’est tout à fait parce qu’il a eu trop d’amourettes quand il était jeune. Maintenant sa santé va de mal en pis, c’est bien fait

Ton père a eu beaucoup d’amourettes ?

comment plaire aux femmes, donc il

là là ! s’est exclamé Ludovic, ton père est vraiment libertin

En fait, il existe encore plusieurs båtards de mon père dehors, mais sauf Claude, d’autres sont tous des filles. Quand mon grand-père a appris l’existence de Claude, il a insisté pour que mon père le ramène à la maison, prétendant qu’on ne

a ajoute :

déteste beaucoup. Cependant, puisqu’on l’a déjà ramené à la maison, on ne

était le båtard que le chef avait laissé en dehors du mariage, et ne s’est pas fait ramener chez les Poulin jusqu’à ce qu’il soit

la misère. A

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