Chapitre 331 

En ce moment, Adrien dont le front portait des mots « pauvre con » et sa petite amie au nez tordu étaient cahotés dans une camionnette délabrée pour rentrer au centre-ville de la Cité J. 

Adrien se couvrait fermement son front ensanglanté, de peur que le chauffeur de la camionnette le remarque. 

Après s’être enfui au delà de l’Hôtel Lysée, il avait hélé ce chauffeur et lui avait demandé de le renvoyer chez lui au prix de vingt euros. 

Maintenant, il voulait juste rentrer chez lui le plus vite possible. 

Cependant, le chauffeur a quand même remarqué le front ensanglanté d’Adrien dans le rétroviseur. Il a hésité un instant et a demandé avec curiosité : 

– Garçon, es-tu blessé ? Adrien a dit avec colère : – Cela n’a rien à voir avec toi, conduis bien la voiture et arrête de dire des bêtises ! Le chauffeur a dit d’un ton un peu mécontent: – Je me juste soucie de toi, en plus, ton front saigne toujours, ne tache pas les sièges de ma voiture ! Quand Adrien a entendu cela, sa colère a immédiatement explosé, il a grondé : 

– Je t’emmerde ! Cette putain de voiture ne coûte que quatre mille euros au plus, tu craignes que je tache les sièges ? Pauvre con ! 

était le tic de langage d’Adrien, même s’il s’est déjà fait graver « pauvre con » sur le front, il ne pouvait quand même pas s’empêcher de le laisser échapper ! Comme disait le proverbe : Chassez

qu’Adrien l’injurie, et s’est aussi

es si mal élevé! En l’eniendant, Adrien, tellement énervé, a

à tort et à travers ! Sinon, je te tuerai ! Je te préviens, personne ne s’avisera de la mort d’un pauvre

service au bord de la route, il s’est directement arrété

Bonjour, messieurs les gendarmes, un passager de ma voiture m’a menacé de me tuer, je soupçonne qu’il est

mots du chauffeur, ils ont immédiatement encerclé la camionnette et ont ouvert la portière.

dans les mains, descendez ! ont crié les gendarmes à

qu’à ce moment qu’Adrien s’est rendu compte qu’il a eu

dans les mains, les mots « pauvre con » sur son front seraient exposés ! Non ‘Il ne descendrait pas ! Absolument pas ! Alors Adrien a dit

me conduire à la maison, c’est très

sentaient d’instinct que c’était pas un homme ordinaire, d’autant plus que le front d’Adrien saignait toujours. Ils supposalent qu’Adrien venait de faire

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