Chapitre 350 

Clément l’a trainée vers la rive et a dit à la fille d’une voix froide 

– Tu es la fille de tes parents. Tu te blesses pour une ordure ? C’est comme ça que tu respectes tes parents ? La fille a dit en gémissant : 

– S’il vous plait, laissez-moi mourir. Je suis une sale fille et je n’ose pas regarder mes parents en face. Je suis leur honte. Je ne peux les sauver que si je meurs… 

Clément l’a laissée tomber sur l’herbe de la rive et lui a crié dessus avec indignation : 

– Putain ! Tu ne vis pas seulement pour toi, mais aussi pour tes parents. Ils travaillent si dur pour te nourrir, t’élever et payer tes études. Ils ne font pas ça pour que tu te jettes dans le lac pour une ordure, mais pour que tu deviennes utile et contribues à la société ! 

Quelques filles se sont rassemblées autour d’elle en larmes à ce moment-là et ont essayé de la persuader : – Carine, pourquoi es-tu si stupide ! Ça vaut la peine de te blesser pour cette ordure ? Carine Cellier a craqué et a dit en pleurant: 

sera aussi torturé. Je ne veux pas qu’il soit torturé, je veux qu’il soit heureux…

que Carine Cellier a

regardé Clément

quelques minutes, d’accord ? En entendant cela, les filles ont alors hoché la tête et sont parties loin. Carine était assise dans la

vivre. Je veux mourir pour avouer mes sentiments pour lui, pour lui

que Carine avait déjà perdu

et qu’elle devrait mourir. C’est

moins six mois pour que la suggestion endorme une partie de son

des idées dans sa tête pendant

une partie de QI de son corps dans le bout de ses doigts et a doucement tapoté le front de

Carine Cellier, regarde-moi. Immédiatement, comme si elle a été ensorcelée, Carine a relevé

a

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