Chapitre 408 

A demi-mot, Clément n’était qu’un étranger qui n’avait pas le droit de se mêler des affaires des Poulin. Aprés que Claude l’avait entendu, son cour agité s’est refroidi sur-le-champ. Il s’est enfin rendu compte d’être trompe, voire, énormément. Son père n’avait pas l’intention de lui donner une occasion dès le début. 

Même s’il avait sorti le précieux ginseng blanc millénaire que sa mère lui avait donné et qu’il avait supplié Clément de sauver les Poulin, son père ne lui permettait pas de devenir le PDG. 

A ce moment-là, Clément fronçait les sourcils. Il a regardé vers Tristan et dit d’une voix froide : – Comment ? Tu comtes te repentir? Tristan s’est empressé de prendre la parole : 

– Maitre Clément, vous ne connaissez bien cette affaire. A ce moment-là, ce que j’ai dit à mes deux fils, c’est que celui qui pouvait aider la famille à régler ce problème avait plus de possibilités de devenir le PDG. Claude a accompli un exploit pour notre famille aujourd’hui. Je m’en souviens certainement. Quand j’élirai le PDG à l’avenir, il aura plus de chances naturellement. 

Hétait évident que Tristan se comportait avec effronterie. Tout au début, il avait dit que celui qui réglerait la crise pourrait serait le PDG. Mais à présent, il a repris, disant que celui qui a réglé la crise avait la chance de le devenir. 

dans sa main. Puis il laissait autrui deviner

est déjà parti et que la crise ait

sont les affaires de notre famille. Elles n’ont rien à voir avec toi. Si tu as du

le même genre d’homme qu’Albert: modeste et poli quand il avait besoin d’aide mais rude et effronté après être aidé. Voyant que son fils avait rompu avec Clément,

la vérité, il est impossible que ce båtard né de la Montagne Blanc hérite de moi le Groupe Poulin. J’ai fait l’amour avec beaucoup de femmes. Sa mère est de qualité la pire parmi elles. Merde, juste une paysanne. Si ce n’était pas parce

entendu ses paroles, Claude a crié avec colère : – Comment peux-tu faire outrage à ma mère ! Tristan a haussé

bénir ! Nos Poulin t’élevions depuis tant d’années. Mais tu te plains, voire comptes dominer notre entreprise ! A mon avis, tu devrais quitter notre famille à partir

Claude se tenait debout à coté avec découragement. Du fond de son cour, il a déjà accepté

a serré les poings et a dit en serrant les dents : – Bon! Dorénavant, je n’ai rien à voir avec vous ! Albert

pas le droit de dire « rompre avec nous ». C’est nous qui voulons

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