Chapitre 412 

Alors Albert a crié désespérément : – Non! Je n’y vais pas ! Je ne veux pas aller dans un endroit fantôme comme la Montagne Blanc pour récolter du ginseng! Après avoir fini de parler, il a regardé Clément, s’est prosterné et a dit : 

– Maitre Clément, s’il vous plait, pardonnez-moije suis prêt à quitter le pays C et à ne jamais revenir, et je ne dérangerai plus jamais Claude, s’il vous plait, ne m’amener pas à un endroit tel que la Montagne Blanc. 

Clément leur a donné aucune chance et a ordonné directement au reste de la famille poulin : 

– Vous la famille Poulin, écoutez-moi, à partir de maintenant, vous n’avez que deux options, soit vous travaillez dur pour le compte de Claude, et il protégera vos propres intérêts; ou vous suivez ces deux jusqu’à la Montagne Blanc pour récolter du ginseng! 

– Je vous donne dix secondes pour faire la queue. Après avoir décidé avec qui vous voulez aller, vous pouvez vous mette en rang derrière lui. Dès que Clément a dit cela, tout le monde dans la famille Poulin a immédiatement bougé. Cependant, ils se sont tous précipités sans exception pour se tenir derrière Claude! Tristan et Albert ont grondé avec colère: – Vous êtes tous des ingrats, notre famille Poulin vous a vraiment alimentés pour rien! 

« Une fois l’arbre tombé, les singes se dispersent. » En effet quand une personne d’influence perd sa

loup est pris, tous les chiens lui lardent les fesses, Tristan et Albert avaient manifestement perdu leur pouvoir, donc mėme un idiot n’allait pas les suivre

à côté de lui, tremblait également. Voyant que les carottes étaient cuites pour lui, Albert ne pouvait que regarder Claude, pleurant et

bon frère, bien que nous ne soyons pas nés de la même mère nous sommes toujours du même père, le même sang coule dans nos veines, aie pitié de ton propre frère, s’il te plait, implore la

l’a regardé froidement et lui a dit :

pour une racaille comme toi! De plus, tu ne m’as jamais considéré comme ton frére, cela fait des années que tu ne cesses de nous insulter ma mère et moi, je te déteste, je t’ai longtemps détesté ! Tout ce

Je suis ton père biologique malgré tout, comment peux-tu me traiter de cette manière,

pas peur ! a répondu froidement Claude, c’est plutôt toi qui devrait avoir peur, tu as blessé tant de femmes et tu as maltraité ton propre fils depuis sa naissance, n’as-tu pas peur des

Claude a dit sérieusement :

En fait, tu es déjà puni! Tu sais très bien qu’il ne le reste au maximum que quelques années à vivre, et qu’avec ton état de santé actuelle, les quelques années

: – Je vous donne une heure pour vous préparer, et dans une heure, je dirais à

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