HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 419 

Mme Xavier a perdu tout son espoir maintenant. Elle ne voulait vraiment pas que le fruit auquel elle s’est consacrée toute sa vie parte en fumée. De plus, le seul immobilier qu’elle possédait maintenant, c’était cette villa ancienne. 

Si la famille Xavier faisait vraiment faillite, cette villa serait définitivement scellée, et à ce moment-là, son fils et elle devraient dormir dans la rue… 

A ce moment, Mme Xavier s’est soudainement souvenue que Brice devait avoir encore quelques économies, alors elle lui a demande a la háte : 

– Brice, combien d’argent as-tu maintenant ? Brice, un peu affolé, a dit : – Maman, je n’ai pas beaucoup d’argent, juste quelques centaines de milliers d’euros… 

– Pourquoi si peu ? a demandé Mme Xavier en fronçant les sourcils, tu as vécu à la maison toutes ces dernières années, et chaque mois tu touchais ton salaire du Groupe Xavier. Alors à part les 500 mille euros que Ludovic a donnés à Vivian, tu devrais avoir encore beaucoup d’économies, non? 

Brice a dit d’un air triste : 

que je n’aie pas eu des frais importants ces dernières années, je dois quand mėme subvenir aux besoins de Hugo, Vivian et Mireille, en plus, je suis très dépensler et je dépense toujours sans compter,

Xavier a

argent à faire survivre notre entreprise,

dans mon compte de dépôt à terme… je ne peux pas le retirer ! Mais

que je ne perce pas tes véritables pensées, tu veux juste te réserver quelques économies ! En l’entendant, Brice

renversé, jamais d’auts intacts. Tu penses vraiment que tu pourras

mais

tu subiras juste une perte d’intérêts. Dans cette situation aussi critique, pourquoi voudrais-tu quand même si peu d’intérêts ? Bon, écoute, il te faut faire transférer au compte de l’entreprise ton argent de ton compte en moins d’un jour, tu comprends ? Et puis, je vais négocier avec les créanciers un échelonnement du montant dû afin de nous laisser un repit pour

débiteurs avaient une bonne attitude et pouvaient préciser les détails de l’échelonnement, la plupart des créanciers accepteraient le

quelques centaines de

Mme Xavier, il n’osait pas faire mine de rechigner, alors il a hoché la tête et a dit : – Ne t’inquiéte pas, maman, Mireille et moi allons faire transférer au compte de l’entreprise