HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 679 

Kyan étant troublé par la question du patron. Il est venu acheter des meubles, comment se faisart-il que le patron le prenne pour revendeur ? Alors il a dit au patron: – Je crois que tu t’es trompé, patron, je suis ici pour acheter des meubles. Le vendeur a également dit à la hate – Patron, ce monsieur veut acheter un ensemble de meubles en poirier jaune. Sur ce, il a désigné Brice qui venait d’entrer et a dit : – Ce monsieur est celui qui veut vendre des meubles C’était à ce moment-là que le patron s’est aperçu qu’il s’est trompé, alors il a dit à la hâte à Kyan: – Oh, je suis vraiment désolé, j’ai fait erreur. Cela dit, il a tourné la tête vers Brice et lui a demandé : – Monsieur, vends-tu des meubles ? 

Quand Brice a entendu dire que Kyan est venu pour acheter des meubles, il voulait vraiment s’en aller tout de suite. Après tout, il ne voulait pas se ridiculiser devant Kyan. 

Cependant, ce magasin était le plus grand magasin de meubles en poirier jaune de la Cité J. et c’était aussi le magasin qui proposait le prix d’achat le plus raisonnable sur le marché des meubles en poirier jaune d’occasion, donc s’il partait maintenant vendre ses meubles aux autres magasins, il perdrait peut-être plus de dix mille euros. 

pensant, Brice ne pouvait que dire au patron avec un sourire géné: – Oui, c’est moi. Je veux vendre un ensemble de canapés et de chaises en poirier jaune de la Cité S, ce sont tous de vieux meubles. Le patron a

des meubles en poirier jaune de la Cité S. Où sont tes meubles alors ? Je veux jeter un coup d’oeil

regard à Kyan et a dit à voix basse : – Les meubles sont dans la camionnette, dans le parking, je

à Brice, et il a été très déprimé et inquiet récemment, de sorte qu’il a perdu beaucoup de poids et que la plupart de

Hugo et Vivian qui se tenaient à côté de Kyan semblaient tous sans aucun ressort. Surtout Mme Xavier avait bien envie de pleurer à la pensée que les précieux meubles laissés par son mari seraient bientôt vendus. Quand elle a vu que toute la famille

et a demandé : – Maman,

dit froidement :