Chapitre 685 

Dès que Mme Xavier a dit cela, toutes les personnes présentes étaient stupéfaltes ! La première personne à avoir été abasourdie était Lorraine ! Elle avait tout de suite compris la motivation de la vieille dame! 

* Tu es vraiment aussi rusée qu’un renard ! Donc tu prétends que tu nous offres ces meubles par pure générosité, mais ta vrai motivation c’est que tu veux venir vivre dans notre grande villa ! » 

* Je me suis difficilement débarrasser de toi, et de toute la famille Xavier pour mener une vie heureuse avec mon mari dans notre nouvelle villa, une vie bien meilleure que celle de toute la famille Xavier. » 

« Mais résultat, tu viens essayer de nous amadouer avec tes meubles pour qu’on te laisse vivre dans notre villa ? » « Tu devrais te regarder dans le miroir pour voir si tu en es digne ?! 

Kyan n’était pas un idiot non plus, il a en effet été ému par la générosité de la vieille dame au début, mais après, il a immédiatement compris les vrais motivations de sa mère. 

Il savait que s’il laissait Mme Xavier vivre dans sa nouvelle villa, ce serait comme faire entrer le loup dans la bergerie, il risquait de ne pas avoir de quiétude dans sa maison, c’était pour cela il ne pouvait en aucun cas accepter la requête de Mme Xavier. 

aussi un peu inquiet, il était persuadé que si Mme Xavier venait vivre dans leur nouvelle villa, il

qui se trouvaient à côté l’étaient encore plus ! Non seulement ils étaient choqués, mais ils

de roche : elle voulait amadouer

cas échéant, comment allait faire Hugo, Vivian ainsi que leur papa

euros au propriétaire de la villa où elle comptait vivre, papa est complètement à sec en ce moment,

d’antiquités gardé par grand-mère, si elle l’offre à la petite famille de Kyan, comment

! » Juste au moment où ils étaient très tendus, Lorraine a parlé la première, elle a regardé Mme Xavier avec mépris et a dit

nous amadouer avec tes meubles de rien du tout pour qu’on te donne une chambre dans notre nouvelle villa ? Sais-tu que notre villa à elle seule vaut 13 millions d’euros ! Et si on n’y inclut les travaux de finissions et la décoration sa valeur se retrouvera dans les

pouvoir aller vivre dans cette Villa, alors face au plaidoyer de Lorraine, elle n’a pu que dire innocemment:

rien d’autre qu’un petit cadeau symbolique de ma part,

immédiatement déclaré :

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