Chapitre 699 

A ce moment-là, Brice s’est jeté vers sa mère évanouie, a la saisie par son col avec colère et l’a secouée vivement. 

Mme Xavier s’est réveillée immédiatement. Brice l’a attaquée : 

– Tu viens de dire que tu es la seule à pouvoir trouver ces antiquités cachées i Cependant, maintenant, on les a trouvées et saisies !!! Dis-moi, avec quoi nous VIVONS désormais? 

Ayant des remords, Mme Xavier fondait en larmes. Elle a gémi : – Je ne sais pas. Je ne m’y attendais jamais. Si je m’étais y attendue, je ne les aurais pas cachées dans cette villa… Tout en pleurs, la vieille a continue: – Cette fois, tout est fini ! J’ai tout perdu ! Aussi désespéré, Hugo a pleuré: 

de quoi manger ce soir ! Si nous pourrons supporter la faim ce soir,

allons vivre dans la rue! Non ! Incroyable ! En méme temps, les agents déménageaient les objets de valeur de la villa dans les

antiquités et les transporter, Mme Xavier hurlait follement. Elle voulait les ravir, alors que

feu de colère s’attisait du fond du coeur de Brice. Il haïssait sa mère jusqu’à vouloir lui donner un coup de pied en la maudissant:

  • Qu’est-ce qu’elle est égoïste ! Personne n’est plus égoïste qu’elle ! » 

plus, c’était que les objets précieux cachés par sa mère ont fini par être confisqués et qu’il était impossible que l’on les

effets ordinaires et les meubles usés de la famille et les ont entassés au bord de la rue près

que la maison presque vidée, les agents du tribunal a scellé la porte de la villa. Le responsable est venu dans l’avant-cour pour

ne pars pas ! C’est chez moi! Les yeux gonflés et tout rouges, les cheveux emmêlés, Mme Xavier était comme une

villa a été saisie. Elle ne vous appartient plus. Continuer à rester ici constitue une entrave à l’exercice de la justice ! Nous avons le

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