Chapitre 707 

Lorraine croyait qu’à condition qu’elle la lui demande, Clément, ce jean-foutre n’oserait pas lui désobéir sans aucun doute. 

Une fois qu’il aurait viré de l’argent à son propre compte, elle pourrait inviter ses amies à manger. Puis, elles joueraient aux cartes après le repas. C’était ce qu’on appelait la vie de la classe favorable. 

Ayant appris qu’elle voulait de l’argent, Clément a immédiatement secoué la tête et dit : – Maman, je ne peux pas t’en donner. Lorraine a froncé les sourcils et l’a questionné directement : – Pourquoi ? Clément lui a répondu d’un ton léger : – Maintenant, c’est papa qui tient les cordons de la bourse. Si tu veux dépenser de l’argent, il faut que papa soit d’accord tout d’abord. – Que parles-tu ?! a dit Lorraine d’une voix froide, ma parole ne sert à rien à présent? Clément a hoché la tête et dit: – A propos de l’argent, il faut que papa donne son consentement. Lorraine a dit avec colère : – N’essaie pas de me menacer de Kyan. Je te dis : je suis ta mère. Tant que je te demande de l’argent, tu dois me donner ! Clément a parlé avec un sourire : – Je peux te donner n’importe combien de l’agent pourvu que papa donne la permission. – Tu. 

Lorraine était tellement fachée qu’elle l’a interrogé en le désignant du doigt: – Tu veux aller contre moi, non ? Clément lui a rétorque: 

demandé que papa tenait les cordons de la bourse dorénavant. Je ne fais qu’appliquer ta décision, n’est-ce pas ?

: – Ne débite pas tant de balivernes. Dépêche-toi de me donner de l’argent ! Avec l’air complètement indifférent, Clément a refusé: – Désolé, maman. Sans le consentement de papa, je ne peux pas t’en donner même si tu me menaces de ma vie. Sur ce,

de dos, Lorraine était folle de colère !

 

qu’il informe Clément. Mais elle a immédiatement renoncé à cette idée

plus infatue que Clément à présent. Non seulement il ne suivait pas son ordre mais aussi il se

la fois lourde dans son coeur, ne sachant

ses amies attendaient sa réponse. Lorraine était génée mais elle ne voulait pas se résigner

ce moment-là, Clement faisant le ménage dans la cuisine. Et Kyan, avec l’air Joyeux, dégustait du thé et lisait le jour

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