HOMME INACCESSIBLE

HOMME INACCESSIBLE chapitre 796 by Rimelia

Chapitre 796 En pensant à cela, elle a timidement demandé à voix basse : - Je., puis-je en parler àmon gendre en privé ? En l'entendant, le policier A a tapé lourdement la table avec colère et a dit au policier B : - Je te le dis, on ne peut pas faire confiance à cette femme, mais tu insistes pour la laisser partir! As-tu entendu ce qu'elle vient de dire ? Elle parlera de tout cela à son gendre en privé ! Si nous la laissons partie, tôt ou tard elle fera rater cette affaire ! La mine du policier B s'est beaucoup rembrunie, il fixait Lorraine et a dit froidement: - Lorraine, tu me déçois beaucoup! Je pensais vraiment que tu pourrais garder le silence absolu sur cette affaire, mais je ne m'attendais pas à ce que tu veuilles quand même en parler avec ton gendre! Il semble que tu n'écoutes pas un mot de ce que nous venons de te dire ! En entendant les mots des policiers, Lorraine a immédiatement panique.

Elle a demande en tremblant: - Messieurs, à vrai dire, le début de tous les malheurs que j'ai éprouvés ces derniers deuxjours, c'est cette carte noire de Clément.

pas lui donner un blâme pour exhaler ma colère ?! Le policier B a grondéavec

• Tu es vraiment stupide ! Clément est l'un de ceux qui ont reçu la carte noire, alorsnaturellement le groupe criminelle surveille toujours, et il est même probable qu'ils ont déjà installé de nombreux moniteurs dans votre maison ! Donc si les criminels t'entendent dire toute information relative à cette affaire, ils te tueront ou même tueront toute ta famille ! Lorraine, très effrayée, a dit à la hâte: - J'avais tort.je ne le dirai à personne ! Le policier A a dit froidement: - C'est trop tard ! J'ai déjà dit qu'on ne peut pas te faire confiance, parce que tu ne feras que tout rater! Cela dit, il a dit au policier 8: - Je pense qu'il vaut mieux continuer à l'enfermer dans le centre de détention jusqu'à ce qu'on élucide l'affaire ! Le policier B a hoché la léte et a dit : - Oui.

nous ne pouvons pas faire autrement ! Quand Lorrane a entendu la conversation entre les deux policiers, elle aimmédiatement

à elle-même

• Messeurs, j’avais vraiment tort, jene dirai certainement à personne un seul mot au sujet de cette affaire, je vous prie de me laisser partir ! Si vous me renvoyez au centre de détention, je mourrai vraiment ! Le policier A la regardait avec indifférence et a dit : - Je ne te crois pas! Lorraine était tellement en proie au remords en ce moment.

important pour elle