Chapitre 817 

A ce moment–là, la charmante Gisèle, est sortie de l‘ascenseur Bien qu‘elle vienne pour apporter les paniers de fleurs pour Paul, son regard se posait toujours sur Clément. Chaque fois qu‘elle rencontrait Clément, Gisèle se sentait heureuse comme une jeune fille de dix–huit ans. En fait, les personnes comme elle, qui étaient nées dans une famille riche, murissaient plus tôt que les autres, étaient en contact plus tôt avec le monde et apprenaient plus tôt à porter un masque pour cacher leurs émotions. 

Mais devant Clément, Gisèle oubliait toujours de cacher ses émotions. Elle a regardait attentivement Clément, et a demandé timidement : – Maitre Clément, comment connais–tu M. Paul, qui vient d‘arriver à notre pays ? Clément a souri doucement et a dit : – Mon beau–père et la mère de M. Paul ont fait des études universitaires ensemble, c‘est comme ça que nous nous connaissons. Gisèle a dit avec surprise : – Mince, quelle coincidence ! Paul a dit en riant : – Quelle coincidence ! Je ne pensais pas non plus que tu connais Maitre Clément. Gisèle a lancé un regard à Clément et a dit à Paul: 

souviens de l‘époque où nos exportations ont été jugées inférieures aux normes aux États–Unis, si bien que nous avons méme du faire face à une énorme compensation ? Paul a acquiesce immédiatement et

avant même que j‘y arrive. N‘étant pas encore revenue de sa frayeur, Gisèle a dit : – C‘est moi qui ai accidentellement dérangé le Fengshui de ma maison, et non seulement les affaires ont échoué, mais j‘ai aussi eu beaucoup de problemes de santé, de sécurité,

 

géomancie que tu as rencontré à l‘époque, était Maitre Clément ! Gisèle a hoché la tête et a dit : – Oui, c‘est ça !

Paul avait beaucoup de respect pour lui. De plus, même Gisèle tenait Clément en haute estime, il était donc normal qull ne puisse pas le négliger.

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