Chapitre 915 

Dans une telle situation, Abélard avait également l‘impression que ça ne se produisait pas bien. Tant de camions s‘entouraient autour d‘eux de nulle part. Avec les camions en avant et arrière, la rivière au–dessous, cétait difficile pour eux de s‘en débarrasser. 

Axel a été nerveux et confus: – Ils sont là pour les enfants ? Mais impossible ! Ce sont des orphelins, non ? – Et même les polices ne sont pas là ! Pourquoi ça ? a demandé le frère d‘Abélard également. 

Comme le cortège s‘approchait peu à peu, le fre a dû arrêter la voiture dans la rue. Tout le monde était affolé maintenant, surtout Axel ressentait l‘effroi au fond du coeur. Personne ne connaissait mieux la situation de l‘Orphelinat que lui. Sauf les flics, les gens ne prendraient pas la peine de chercher les orphelins s‘ils avaient perdu. 

Il y avait cependant une exception qui le rendait vraiment nerveux, c‘était bien Clément qui lui avait fait du mal le jour précédent. 

 

affaire avait à voir avec Clément. Notamment à l‘idée que cette

réellement envoyés par

camions l‘ont cernée, effrayant les sept adultes dedans. Abélard a sorti un couteau,

sceur ainée. Bien désespére, Abélard a paniqué – Fermez tous les rideaux vite ! Je vais les tuer s‘ils osent entrer dedans ! Afin de trafiquer surement les orphelins, ils avaient installé les rideaux sur les vitrines tellement épais qu‘on ne pouvait pas voir à travers la situation dedans, sans parler des enfants dans le coma. Sous les ordres d‘Abélard, les autres se sont empressés de fermer les rideaux immédiatement

impossible de descendre maintenant,

ce matin–là. Avec le couteau, ils auraient eu quand même

toujours prêt à risquer sa vie. Axel lui n‘était qu‘un esCroc, se contentant d‘escroquer de l‘argent aux vieux qui rêvaient

il a sorti de son couteau et

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