Chapitre 1020 

Donc pour Mme Xavier, les prostituées comme Mireille devaient toutes être tuées ! Regardant que Brice et Mme Xavier frappaient fort Mireille, le médecin était béant d‘étonnement. Il a crié fort à côté: – Arrêtez ! Arrêtez tout de suite ! Sinon, j‘appellerai la police ! Mais Brice et Mme Xavier ont directement ignoré le médecin et ont continué à battre Mireille. À cette vue, le médecin ne pouvait que tourner la tête vers Vivian et Hugo, et a dit : – Vous deux, ne restez pas là les bras croisés ! Dépêchez–vous de les arrêter ! Entendant cela, Vivian et Hugo avaient tous l‘air très indifférents, et il y avait même une pointe de colère dans leurs yeux. 

Normalement, ils ne se permettaient absolument pas de se croiser les bras en regardant leur mère se faire battre. 

Mais cette fois, la situation était bien spéciale. Ils se sentaient tous les deux très honteux que leur mère soit revenue enceinte d‘un enfant bâtard après avoir disparu pendant longtemps. Effectivement, la plupart des jeunes de nos jours étaient égoïstes et ils ne se souciaient que de leurs intérêts personnels même s‘il s‘agissait de leurs parents. Vivian et Hugo étaient comme ça. Ils s‘en fichaient si Mireille avait ses propres peines intimes ou avait beaucoup souffert, tant que Mireille leur faisait honte, ils la croyaient coupable. 

Mireille, frappée à coups de poing et de pied, se sentait très peinée en ce moment, d‘autant que ses deux enfants la regardaient toujours d‘un ceil indifférent. Dépitée, elle a repousse de toutes ses forces Brice et Mme Xavier qui la rossaient et a crié : 

je n‘avais vraiment pas d‘autre choix ! Dans le chantier de la mine,

beaucoup excitée et

promis au superviseur de coucher avec lui, je serais déjà morte dans le chantier de la mine ! Mais réfléchissez, pourquoi en suis–je réduite à cette misère ? C‘est tout à fait pour notre

a tourné la tête vers

nourrir notre famille et avoir la chance d‘emménager avec vous dans la grande villa du Quartier Glitact ! J‘ai fait autant de sacrifices pour cette famille, mais comment pouvez–vous me traiter maintenant comme ça ! Je n‘ai rien fait de mal, de quel droit me reprochez–vous ? Le coupable c‘est

colère, l‘humiliation, la panique, et toutes sortes de pensées se sont emparées de Mireille, et elle a enfin éclaté.

que victime, elle n‘avait aucune raison de se

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