HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 1077 

Brice a résisté à ses démangeaisons tout au long du chemin et lorsqu’il était de retour chez lui où Mireille était en train de préparer le dîner. 

Lorsqu’ils déjeunaient ce jour–là, elle a vu que Brice aimait manger les ormeaux qu’elle a cuisinés, elle prévoyait de continuer à le flatter, alors quand Brice est sortie avec Mme Xavier l’après–midi, elle est retournée au marché. 

Cette fois, elle a acheté un crabe royal géant pour Brice. Le crabe royal était gros, charnu et délicieux. C’était le fruit de mer préféré de Brice. 

Le crabe royal coûtait très cher, celui qu’elle a acheté coûtait plus de 200 euros. 

À l’origine, Mireille n’avait pas d’argent, elle a donné tout l’argent qu’elle avait à Mme Xavier, mais elle a volé une machine de cuisson importée haut de gamme dans la cuisine, deux bouteilles de vin dans la cave à vin au sous–sol et les a vendues pour 2000 euros. 

Mireille prévoyait de ne pas donner le reste de l’argent à Mme Xavier et de le garder pour aller à l’hôpital le lendemain pour se faire avorter, puis traiter ses maladies vénériennes par la même occasion. 

Quand Mme Xavier est rentrée chez elle, elle ne s’est pas souciée de régler ses comptes avec Mireille. Elle a acheté beaucoup de désinfectant en chemin, et aussitôt après son retour à la maison, elle est 

allée dans sa chambre et a commencé à effectuer des désinfections tous azimuts de sa chambre, du 

couloir, de sa salle de bain et de son balcon. 

le rapport d’examen de Brice confirmant qu’il n’avait pas le SIDA, Mme Xavier n’était toujours pas rassurée, elle a de

l’alcool. 

est entré dans la villa avec un visage

il a senti l’odeur

portant un tablier est sortie

j’ai t’ai cuit à la vapeur ton crabe royal préféré, tu dois bien te

sur les nerfs en ce moment–là, et quand il a entendu cela, il a failli

elle veut encore me faire manger des

pas encore réglé ses

giflé violemment Mireille, cette dernière s’est écroulée au sol sur le

ce qui se passait, Brice s’est jetée sur elle et a commencé à la battre avec

coups et crier au secours à très haute voix, ses cris de détresse se faisaient entendre dans toute la

sont précipités hors de leurs chambres respectives, et quand ils ont vu leur papa

: – Papa, qu‘est–ce qui ne va pas avec toi ? Toi et maman ne vous êtes–vous pas séparés ? Pourquoi tu la bats encore

– Oui, papa! 

dit à la hâte :

de vous battre tous les deux, et s‘il décide de

: – Espèce de garce répugnante et éhontée, tu m‘as transmis tes putains d‘infections sexuellement transmissibles, et tu me donnes à manger des fruits de mer, pourquoi ? Voulais–tu me tuer ? Je ne t‘ai même pas encore régler tes comptes pour ton infidélité et tu oses encore attenter à ma vie.