Chapitre 1117 

A la vue, Maurice a été heureux. Il était sur le point de saluer son ami, mais comme son patron Richard était là, il devait cacher sa joie et montrer du respect à Richard: 

– M. Richard! 

Ce dernier a tapé sur l’épaule de Maurice et lui a souri: 

– Maurice, ne sois pas si gêné devant moi. Bien que je sois plus âgé de quelques décennies d’ans que toi, nous sommes toujours amis ! 

Surpris par sa gentillesse, Maurice a hoché la tête. 

Clément a demandé en souriant: 

t’adaptes bien à ton nouveau métier

a répondu d’un ton reconnaissant:

je te remercie vraiment ! Si je mène une bonne vie aujourd’hui,

Pour moi, c’est grâce à Léa ! Tout doit avoir une cause, s’il y avait une personne gentille comme Léa qui nous avait sauvés et nous avait donné une maison, c’est parce que nous deux sommes assez

les autres. Surtout Gisèle, dont les yeux étaient pleins de lueur. Appréciant ses paroles, elle avait l’impression qu’elle était aussi honnête de rencontrer Clément. A

 

Clément, Maurice se sentait chanceux d’avoir un tel ami, malgré sa vie misérable pendant une vingtaine d’années. Toutes les misères valaient la peine puisqu’il possédait l’amitié avec lui.

l’heure et

lui d’abord. On peut se réunir un jour si

reviens ici. 

agité la

Vous pouvez continuer la conservation vous

Clément a souri: 

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