Chapitre 1121 

Clément trouvait également incroyable leur connaissance. S’il n’était pas allé à la boutique JQ avec Kyan, il n’obtiendrait jamais le Manuel secret de Pan et dans ce cas, il ne serait jamais le Maître Clément d’aujourd’hui. 

Il le savait bien, quand on l’appelait Maître Clément, c’était plutôt le respect envers ses compétences personnelles mais pas celles de sa famille. 

Clément tenait beaucoup à une telle rencontre qui donnerait un bel avenir en perspective. Peut–être qu’il était destiné à rencontrer Gisèle et le manuel. 

L’air sérieux, il a dit à Gisèle : 

– Au fait, je préfère considérer notre connaissance comme le destin. C’est le destin qui oriente notre vie à quelque part. 

A l’écouter, elle a eu les joues rouges et a demandé à voix basse : 

– Tu veux dire que nous avons des affinités l’un avec l’autre, c’est ça ? 

Clément, il faut des affinités pour faire connaissance, et pour forger des amitiés comme la nôtre, il faut des

hoché la tête en

mystérieux. Je me demande si les génies comme toi croient en

j’ai commencé peu à peu à en croire plus tard, s’est exclamé Clément, c’est l’heure de changer de sujet, c’est un

réfléchi

statut et diriger en avant notre famille.

 

avec

Poincaré tu sais, on témoigne la chute des Pelletier, et la vacance de la première famille vous attend. Je pense que vous

vais parler

développer le commerce. 

toi ? N’hésite

s’est empressée de

récompenser ! Par contre, si un jour je suis utile

pas pour la récompense, mais pour notre amitié. Bien

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