Chapitre 1145 

Ayant appris que ces deux voitures coûteraient au total plus de cent millions, la vieille Mme Xavier a frissonné d’étonnement. C’était plutôt aussi cher qu’une villa dans le Quartier de Glitact, tandis que la sienne dont elle s’était vantée beaucoup, à prix de trois millions, n’en représentait qu’une infime fraction. 

Mme Xavier se sentait bien embarrassée maintenant : elle avait voulu être humiliante, mais était enfin humiliée. C’était incompréhensible et même folle pour elle d’acheter les voitures aussi chères. De peur qu’elle ne provoque plus d’ennuis, Hugo a amené sa grand–mère dans la Bentley. 

Lorraine s’est moquée en ricanant: 

Oh là là, vieille, pourquoi si lâche maintenant ? Continue à te vanter ! 

Lui donnant le dos, celle–là n’osait plus la regarder dans les yeux. Elle savait bien que Lorraine devait la mépriser avec ironie dans ce cas, et qu’elle n’aurait jamais dû s’humilier mais rester loin d’eux. 

laissé verser de l’eau, les Xavier étaient tous trempés jusqu’aux os; et face à une telle humiliation, leur

plus de courage. Montant dans la voiture

contrariée et fâchée, n’a cessé

était aussi plein de dépression :

Si ennuyante est cette Lorraine de me faire affront avec Mireille ! Désormais, ce genre d’humiliation s’accentuera certainement !

et à lui causer des ennuis; mais en

Vivian a

les Pelletier et

! a dit Hugo, la villa ne nous appartient pas, et son investissement de notre entreprise est sous les conditions! S’il le veut, mous devrons lui rendre tout; si nous n’y arrivons pas, il nous

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