Chapitre 1289

Dès que Savin a fini de parler, son téléphone portable a soudainement sonné.

C’était Clément.

Il a rapidement essuyé ses larmes et a répondu au téléphone respectueusement:

Maître Clément !

Clément se tenait à la porte de l’orphelinat et a dit au téléphone :

– M. Savin, je te remercie de tes bons soins pour ces dernières années.

Savin s’est empressé de dire :

– Maître Clément, de quoi parlez–vous ? Je comprends rien du tout à ce que vous dites.

– Je viens de sortir de l’orphelinat de la Cité J, a dit Clément.

Savin a dit en souriant :

? Après tout, c’est l’endroit où vous vivez

vous

d’un

pas semblant, Léa m’a déjà tout dit. À l’époque, c’est toi qui as demandé à Léa de me sauver, et c’est aussi toi qui as remplacé tout le personnel de l’orphelinat par tes hommes pour me protéger, c’est un

reconnaissance.

a soupiré et

tout, Maître

ça que j’ai appelé pour te

pas que Savin lui cachait encore beaucoup d’informations, mais de toute façon, il était

à la hâte :

ce n’est rien, Maître Clément. Votre père m’a beaucoup aidé à l’époque, mais je n’ai pas pu sauver vos parents, je ne me le pardonnerai

vraiment aucun remerciement…

dit :

je veux aussi te demander une chose. As–tu des

a dit d’un ton

tant d’années, je n’ai jamais cessé de chercher les indices, mais en vain…

ont tué vos parents, ils avaient

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