Chapitre 1411

Ernest, qui était sur le côté, a souri rapidement et a dit à Marian:

– Oh, Marian, pourquoi parles-tu à notre frère aîné comme ça ? Vu l’état de santé dans lequel il se trouve en ce moment, il peut mourir à tout moment, si tu le mets tellement en colère qu’il perdre la vie et qu’il n’ait pas le temps de changer son testament, alors ne serions-nous pas obligés d’employer la force contre ma belle-sœur et ma nièce ? Comment pourrais-je le supporter le cas échéant!

Marian a ri:

– Ernest, tu as raison, c’est moi qui suis allé trop loin, je m’excuse auprès de notre frère aîné !

Après avoir fini de parler, il a regardé Bitoric et a dit avec un sourire:

Bitoric, je suis désolé, j’ai parlé un peu durement tout à l’heure, alors ne le prends pas à cœur.

Sur le côté, Ernest a éclaté de rire et a dit :

a dépasse un peu les bornes tout à l’heure, ce qu’il a dit est la vérité, réfléchis-y, qui accepterait que des biens de sa famille valant des dizaines de milliards d’euros passent dans les mains d’étrangers? Si tu acceptes notre proposition, ma belle-sœur et Clody

son ton est devenu extrêmement froid, et il a serré les dents et

à toi et à ta petite famille avant ta mort, si vous trois êtes tous morts, tous les biens à votre nom appartiendront

a toussé violemment avec colère, puis

sont précipitées de l’aider et lui ont

pouvait plus le supporter, il a regardé Ernest

Bitoric n’accepte pas ta proposition, tu t’attaqueras à lui et à sa

faire semblant et a dit

de parler ici. J’ai des affaires à faire aujourd’hui, alors j’épargne ta vie pour aujourd’hui, mais demain à cette heure-ci, je te

il a immédiatement regardé Bitoric et a dit d’une voix froide :

partirai pas d’ici tant que tu n’auras pas donné 80% de tes biens à

fait chorus avec

toi, mais ta femme et ton enfant peuvent vivre encore de nombreuses

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