Chapitre 1438

Marian a crié :

– Arrête de faire des conneries? Si tu n’en es pas capable, va–t’en!

Ernest a arrêté Marian, il a froncé les sourcils en réfléchissant pendant un long moment. Lui aussi a réalisé que c’était vraiment louche.

Juste à ce moment–là, Omer s’est soudainement exclamé :

– Oups! Est–ce que ça pourrait être ce salaud chez Bitoric aujourd’hui ?

Ernest a demandé :

-Tu veux dire le gamin qui m’a lancé le coup?

Omer, il a dit qu’il allait me rendre stérile et que si nous le prions,

a compris

à voir avec ça ! Après tout, il a facilement vaincu mes deux subordonnés nommés Dieu de la guerre

Ernest a juré en serrant les

vraiment ce salaud, je vais le

répondu précipitamment

ne sommes pas de taille

également dit

Oui papa, maintenant Bitoric doit avoir envoyé quelqu’un pour le protéger, même si ce n’est pas le cas, nous n’avons aucune chance

désabusé par cette situation. Ils savaient qui était l’ennemi, mais ils ne pouvaient rien y faire. Il a serré les dents et

réfléchir sérieusement. Gardons calme, et prenons le président demain

ce n’était pas le moment de se battre contre Bitoric et Clément. La chose la plus importante maintenant était d’obtenir la présidence. Une fois la présidence remportée, Bitoric

autres.

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