Chapitre 1476

Aussitôt après le retour de Benoit des États-Unis, Didier l’avait logé dans la maison familiale des Huet et l’a fait soigner

attentivement.

Cependant, une fois le cimetière familial déménagé dans la Montagne Huet, Benoit avait insisté pour déménager.

Pourtant, Didier avait cru qu’il serait inapproprié de laisser habiter près du cimetière à un homme d’âge avancé, bien que cet endroit soit parfaitement aménagé et qu’il y ait des bureaux et des logements pour les employés.

Quoi que Didier ait dit, Benoît s’est obstiné à y emménager.

En fait, il était là pour attendre la personne qui puisse lui sauver la vie, jusqu’à ce que Clément vienne lui donner la pilule de renouveau apte à prolonger sa vie de dix ans.

Maintenant, le but atteint, il voulait se casser.

Il a répondu à ce responsable de sécurité :

Non. Dites à M. Didier, tout ce que je lui avais promis a été accompli. D’ailleurs, ma famille me manque, puisque je me suis venu ici depuis longtemps. Ainsi, je ne viens pas lui dire au revoir. Je souhaite que lui et moi, nous aurions la possibilité de nous retrouver au futur !

Sur ce, il a agité les bras envers les autres pour les saluer. Il a lancé un regard furtif et plein de gratitude à Clément. Ensuite, il s’est tourné, a ri avec la tête en arrière et a clamé :

– À la prochaine !

ça, il s’est

s’est exclamé

Comme ce vieux est plein

voyant tous les gardiens des Huets s’en aller suivre

– Bitoric, cassons-nous.

D’accord! a approuvé Bitoric en hochant la tête,

la voiture pour celui-ci. Lui, il ne s’est réinstallé au poste de conduite

démarré cette voiture

voiture sortie du garage, Bitoric, qui était

de dire avec le géomancien ?

a souri et a répondu :

il a reconnu mon identité. Il sait que je suis de la famille Huet. Donc, il m’a

Bitoric s’est étonné:

II t’a

avec un secouement de tète

m’a pas connu. Mais, comme descendant des Bonnel, il est très habile en

viendrais

exclamé

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