Chapitre 1502

Clothilde a aperçu Clément, s’est levée avec joie, et s’est approchée de lui en souriant :

– Cher Clément, pourquoi tu reviens si tôt ? J’ai pensé que tu reviendrais ce soir !

Le bras pris dans ses bras, il a froncé les sourcils et l’a retiré légèrement.

– Oh, le banquet d’anniversaire s’est terminé tôt, a–t–il demandé, tes parents ne sont pas là ?

– Non, elle a dit d’un ton mignon, Bitoric est allé au groupe, et Sonia s’est rendue à un bal de charité, ils ne dîneront pas à la

maison.

Clément a fait signe de compréhension. Il savait que comme une des premières dames dans la Cité J, Sonia avait sa propre façon pour resoulever la réputation de son mari.

Clothilde a demandé avec hésitation :

vas vraiment

– Oui, demain.

la frustration. Après un instant d’hésitation, elle a pensé à quelque chose avant

promenons–nous !

superstar hein, tu n’as pas peur des

! a–t–elle dit, je te dirige vers les endroits de notre enfance. Tu te souviens

La Rue

les sourcils,

étions petits ! Il y avait des petits marchands, des boutiques, beaucoup de trucs délicieux et intéressants ! Et la Rue Logou est près du lac

t’en souviens?

dans la tête de Clément. Ils montraient des scènes où les deux enfants

On s’amusait en patinant sur la surface lisse. Comme il n’y avait pas beaucoup de jouets à l’époque, Clément attendait toujours le patinage sur le Pueyrredón en hiver.

encore que les Benett avaient un joli bungalow au bord du lac, et chaque fois que

le temps se passe si vite, ces souvenirs se reproduisaient vivement devant les

souvenirs, si collante qu’elle le suivait partout, portant un manteau rose, l’appelant cher Clément, d’un ton si doux et mignon, lui donnait l’impression

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