Chapitre 1508

A ce moment–là, Clément a posé Clothilde dans ses bras, a rattrapé rapidement la petite fille et l’a portée dans ses bras avant qu’elle ne puisse se heurter contre Lucile !

Celle–ci a ouvert les yeux, découvrant que c’était Clément qui avait arrêté la petite fille au moment critique et se sentant heureuse mais furieuse.

Heureuse parce que Clément se tenait toujours devant elle pour la protéger du danger, comme son propre chevalier; furieuse parce qu’un tel héro refusait sans cesse son amour mais enfin avait une autre femme comme maîtresse.

Au fait, Clément n’a pas encore remarqué Lucile..

Toute son attention était sur l’enfant, car il savait très bien qu’en cas de collision, l’enfant avait plus de chances d’être blessé et aurait besoin d’une hospitalisation, tandis qu’un adulte pourrait récupérer après un certain temps.

Heureusement, la petite fille n’était qu’effrayée, pas blessée.

Lentement, elle a ouvert les yeux, et a poussé un soupir de soulagement en raison d’être arrêtée à temps avant de se heurter contre les autres et a dit avec gratitude:

– Merci monsieur, merci beaucoup !

mise sur la

rappelle–toi de

monsieur, j’ai compris… a–t–elle répondu docilement, au revoir, monsieur

regardant s’éloigner, Clément a enfin

mais

! Pourquoi

a reniflé, l’air un peu énervée :

ça ne te regarde pas !

Clément pensait qu’il avait dit des mauvaises paroles et s’est

souriant :

surpris de te rencontrer

Je viens ici chaque hiver, comme on doit

te rencontre.

Clothilde qui s’approchait et a dit à Clément :

te rencontre, sinon je n’aurais pas pu savoir que

Clément embarrassé, et il s’est

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