Chapitre 1512

Voyant que Lucile a cru ses paroles, Clément a dit:

– Bon, il se fait tard, nous te prenons congé. A demain à l’aéroport.

Lucile a hoché la tête, puis a ajouté :

A propos, merci de m’avoir sauvée encore une fois !

– Ce qui j’ai sauvé n’est pas toi, mais la fillette, a souri Clément, parce que si vous vous étiez heurtées, tu irais bien mais elle serait en danger.

Lucile a fait une moue, et a dit à contre–coeur :

– Euh bien, merci quand même !

alors, nous devons y aller, et retiens–le, ne le

garderai en secret. Il se fait tard, nous deux rentrons

garé leur voiture dans le parking de près, et que celle de Clément et Clothilde s’était garée près du bungalow des Benett, ils

a laissé échapper un soupir de

Clothilde lui a demandé

identité? Personne n’ose t’intimider si tu montres ta vraie

a souri légèrement.

je m’exilais avec mes parents à la Cité J, et maintenant je suis comme un orphelin ordinaire. Même si je

aurais pu contacter les Huet et rentrer, non ?

compliquée, et j’étais loin d’être capable d’affronter ça. De plus, si mes parents étaient expulsés, c’était juste qu’ils ne voulaient pas baisser la tête. Même si j’étais jeune, j’avais ma propre dignité, comment pourrais–je me soumettre après

Elle a tenu son bras pour

Je suis désolée pour toi, tu as tellement souffert, souffert des douleurs, des griefs, et même des humiliations par les

sur sa

vie, non ? Il y a toujours le haut et le bas. Au lieu d’être flatté et ignorant des vraies misères pour toujours, je préfère connaître

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