HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 1651

En même temps, Clément se promenait dans la rue à Osaka.

Cette fois–ci, il ne s’est pas laissé accompagner par Édmond et les autres, parce qu’il voulait tuer les trois ninjas qui le suivaient.

Osaka étant la dernière destination de son voyage officiel au Japon, après avoir mis fin aux affaires là, Clément voulait se rendre à Kyoto le plus vite possible.

Il a fait exprès de quitter le centre–ville afin de trouver un endroit convenable.

Cependant, par surprise, les trois ninjas ont soudainement tourné sur leurs pas.

Clément s’est demandé :

« Qu’est–ce qu’il se passe ? Pourquoi ils ne me suivent plus? Ils se sont aperçus de mon idée ? Mais non, je ne révèle aucune intention agressive et je les ignore même. Pas de raison. C’est–à–dire qu’ils ont une mission urgente? Ou bien Batano leur demande de ne plus me suivre ? » Clément a lancé un soupir et a tourné pour suivre les trois à son tour.

Il ne voulait se laisser aucun écueil. Ces ninjas l’avaient déjà suivi pendant si longtemps. S’ils s’en allaient cette fois–ci, ce serait possible qu’ils reviennent le tuer la prochaine fois. Ils pourraient même aller à Cité J où habitait Chloé, le cœur de Clément. Mettre Chloé en danger, pas de question!

Donc, Clément s’est décidé à tuer les trois aujourd’hui !

suivi par Clément et se croyant discret, Monzaemon a couru à quatre pas vers l’hôtel avec

tard, c’était impossible de prendre un train ou un avion. La

assez vite, cinq ou six heures serait suffisantes

récupérer la voiture à l’hôtel

trois ont couru très vite et

l’entrée, Monzaemon a dit

tu viens avec moi, et Kosho, récupère la voiture au garage et nous attend

–

la tête. Deux personnes récupéraient leurs affaires et une

l’ascenseur, Monzaemon a appelé Batano.

dans cinq minutes et nous arriverons dans presque quatre heures. Ne sortez pas, s’il

retour.

peu panique, Batano a

a utilisé du gaz sarin. Quel fou! J’ai peur d’être victime. Tu as combien de

manque de bras à Tokyo. Des ninjas surveillent lyo à Kyoto. Je peux

Non, laisse–les rester à Kyoto ! S’ils contrôlent lyo, je peux menacer