Chapitre 1658

Après un peu de réflexion, Batano a hoché la tête et a dit :

– D’accord, ouvre–le !

Avec la permission de Batano, le majordome a aussitôt ordonné aux deux serviteurs:

-Allez ouvrir le frigorifique !

Les deux serviteurs se sont immédiatement dirigés vers l’arrière du camion et quand ils étaient sur le point de tirer le verrou de la portière du frigorifique, Batano ne pouvait s’empêcher de faire quelques pas en arrière, l’air nerveux.

Dès l’ouverture de la portière, des volutes de fumée blanche se sont élancées au dehors.

Ces jours–ci, il faisait humide à Tokyo et la température a un peu augmenté, c’était 3 degrés à peu près.

Mais comme il faisait environ moins 20 degrés dans le frigorifique, les vapeurs d’eau, en se refroidissant, se sont immédiatement transformées en de très petites gouttelettes d’eau, c’est–à–dire la fumée blanche.

Au bout de quelques instants, la fumée blanche s’est enfin dissipée, laissant voir les choses dedans.

Mais quand les gens ont vu clairement ce qu’il y avait dedans dans le frigorifique, ils ont aussitôt crié de peur !

quatre personnes frigorifiées

justement Monzaemon et ses trois hommes

était debout sur un pied, la bouche pleine de l’autre

l’épaule l’un

sur la hanche, et a fait un doigt d’honneur de

quatre personnes, sauf celle de Shiko, avaient

avait même fait exprès de verser

avec effroi

sont de vraies personnes ou

congelés, si effrayé, il ne pouvait plus se tenir sur les jambes. Il s’est affaissé par terre et a s’est écrié avec horreur :

! Appelez la police!

police sont soudainement apparues et se sont empressés auprès

Batano en cachette pour voir s’il y avait des liens entre Batano et la disparition des deux enfants d’Igor, mais à leur grand étonnement, dès que

sévère et a vérifié de près les quatre personnes frigorifiées. Puis il a murmuré,

de vraies personnes !

policier a

quatre hommes sont–ils

a dit avec

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