Chapitre 1819

Regardant Clélia furieuse, Clément se contentait de sourire légèrement et lui a demandé :

Tu viens à la Cité J pour convaincre ma belle-mère de persuader ma femme de divorcer avec moi, et je ne peux pas te taquiner?

Clélia était un peu gênée et a dit en serrant les dents:

Je l’ai fait pour ton bien ! La famille de ta femme est si pauvre, est-elle digne de toi ?

Clément a dit d’un ton froid

Cela ne te regarde pas. Tu ferais mieux de retourner à la Cité Y, sinon tu passeras le réveillon à la Cité J.

Clelia était furieuse ! Elle s’est efforcée de se lever, mais a été poussée par les gars à côté d’elle, et ne pouvait que serrer les dents et crier :

Clément, tu me menaces?

Clément a répondu sans expression:

– Je ne fais que te menacer, mais si tu m’énerves vraiment, je pourrais te frapper.

Clélia a serré les dents et a dit :

– Si tu me frappes, je ne vais pas en rester là !

Clément a ri froidement et a dit :

– Si même mes subordonnés peuvent te gifler, qu’est-ce que je ne pourrais pas oser faire ? La seule raison pour laquelle je ne veux pas te frapper, c’est que je ne veux pas salir mes mains.

hurlé :

belle-mère, cette furie qui a osé me frapper, je

levé

rentre pas chez toi et reste

demandé

me retenir

Clément a acquiesce

as raison, je vais te retenir

rage et a hurlé :

– Insolent!

a répondu

? D’accord, je vais te faire

hurle de

Tu ne peux pas me

demandé d’un ton froid:

que tu es ma tante, alors où étais-tu quand j’étais

voix, et Clément a

sur un chantier de construction, où étais-tu, ma tante?

toujours incapable de répondre.

Clement a continué

suis mané, où

de Clélia s’est assombri, elle voulait contredire

que Clément a

dérange pas, c’est la vie, après tout on ne peut compter que sur soi-même.

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