Chapitre 1830

Vivian a continué,

– C’est dommage, Lorraine sera bientôt renvoyée et Josette n’est pas encore sortie de prison, quand elle sort, elle ne reverra peut-être jamais Lorraine de sa vie.

La vieille dame a soupiré à son tour:

Mais ce n’est pas grave, quand Lorraine arrive à la briqueterie, elle aura du travail à n’en plus finir !

Au centre de détention pour femmes de la Cité J.

Josette a éternué brusquement.

Plusieurs femmes autour d’elle se sont précipitées et ont demandé :

– Josette, qu’est-ce que tu as ? Tu as attrapé un rhume?

Josette s’est frotté le nez:

Je ne sais pas, c’est peut-être parce que j’ai manqué à quelqu’un.

Une prisonnière appelée Séraphine à côté d’elle a ri amèrement :

Qui nous manquerait, des prisonnières comme nous qui n’ont ni parents ni amis !

– Exactement.

a abondé dans

ma famille ne m’a pas rendů visite, alors ça me rend triste

a ensuite regardé Josette et lui a demandé

de temps te reste-t-il avant

a répondu :

c’est encore cinq ou six mois !

bientôt, il me

quatre mois, un peu plus tôt

pourrai pas fêter le Nouvel An à la

soupiré

la famille de mon frère n’est pas fiable… Je n’ai même plus de famille sur

ce moment-là, les yeux de Josette ont rougi et elle s’est étranglée :

père et ma mère seront un jour

pourras aller sur la tombe de tes

acquiescé doucement et ne pouvait s’empêcher de soupirer,

Xavier me manque encore, la voir me rappelle l’époque où ma mère était

ensuite aux autres :

elle est arrivée, elle n’avait même pas d’endroit où dormir, comment va-t-elle maintenant ? Elle

qu’elles parlaient, le gardien s’est soudain approché d’elles

vous êtes toutes les trois prêtes à être libérées ! Elles étaient toutes les trois

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