Chapitre 1854

Mireille, voyant son fils dans un tel état, a fondu en larmes et a étouffé ses sanglots:

– Hugo, je ne peux rien faire, il n’y a rien à la maison et les hommes de Mathieu ont pris tout l’argent, je ne peux rien faire…

Vivian s’est écrié :

– Maman, si j’irais chercher un travail demain ?

Mireille a acquiescé et a dit :

Oui, mais il faudra le chercher demain, tu n’auras ton salaire que le mois prochain, c’est bientôt le jour de l’an, on ne peut pas se priver de nourriture…

Mme Xavier a dit alors :

– Ben, vous pourrez trouver un travail payé à la journée !

Vivian a répondu :

C’est la seule solution…

Pendant ce temps, Josette, au deuxième étage, a discuté avec Séraphine et Georgette.

situation que les Xavier, c’est-à-dire qu’elles n’avaient pas

leur a

avons la chance de vivre dans cette grande villa, mais il faut encore gagner

empressée

bientôt le jour de l’an, nous devons acheter des ingrédients, n’est-ce pas

dit

nous engage, chacune de nous peut gagner 10 euros par heure, si on travaille huit heures par jour, on gagne toutes les trois 80 euros chacune, ça fait 240 euros au total, et c’est la fin de

tout

je n’ai jamais été à l’école,

Georgette a acquiescé:

ferons ce que a dit Josette

dit

tôt ce soir et demain matin, nous irons

Villa A05 à côté.

plâtrée, mais elle était plutôt de bonne humeur.

diner ensemble et la jambe plâtrée de Lorraine était posée sur une chaise pendant qu’elle mangeait et regardait son téléphone

en aperçu et lui a dit d’un

tu viens de te faire casser la jambe et au lieu de maudire, tu regardes ton téléphone d’un air si joyeux ! Cela ne

a lancé un regard noir et a dit avec

suis plus la même qu’avant,

demandé curieusement:

tu te

signe

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