Chapitre 1862

À l’insu de Clément, Claudia faisait tout ce qu’elle pouvait pour le trouver à ce moment–là.

Il avait concentré toute son attention sur le shopping!

C’était la nouvelle année que Clément attendait le plus depuis la mort de ses parents.

Les années précédentes avaient été trop dures pour lui: pour lui, le Nouvel An n’était pas différent des autres fêtes, et au lieu de profiter de la réunion de la famille, il s’attristait parce que tout le monde retrouvait sa famille, à l’exception de lui.

Après son mariage avec Chloé, il ne s’intéressait plus non plus au Nouvel An. Autrefois, c’était toujours. toute la famille Xavier qui passait le réveillon ensemble, et Clément était naturellement la cible des sarcasmes et des moqueries de tout le monde. À chaque diner de réveillon, il était humilié au point d’être extrêmement géné.

En revanche, tout a changé cette année et ce Nouvel An était celui que Clément attendait le plus depuis la mort de ses parents.

Le lendemain, c’était le 31 décembre.

Tôt le matin, alors que la famille a pris son petit déjeuner, Clément a donné à sa femme et à ses beaux–parents la liste de tout ce qu’ils voulaient acheter, et a fait quelques ajustements en fonction des idées de chacun pour arriver à une version finalisée.

La jambe de Lorraine étant cassée et Chloé devant terminer son travail, Clément et Kyan ont été chargés de faire les achats.

Après le petit–déjeuner, ils ont prévu de sortir ensemble au supermarché pour faire leurs courses. Chloé a terminé son petit–déjeuner et s’est levée :

au bureau, c’est le

quelques projets en cours. Ensuite, j’organiserai une réunion

Lorraine a grommelé:

cadeaux au personnel? Ils ne sont pas tous payés

a dit

dur, alors comment ne pas leur offrir un cadeau à la fin de l’année

angoissée et elle a dit :

tu veux distribuer tant

alors

Chloé, en tant que patronne, ne récompense pas le personnel, on risque d’être déçu et de revenir après le Nouvel An pour démissionner, et l’entreprise

dit

raison, tu es vraiment pingre. Si tu étais la patronne, tu serais encore plus

l’a fusillé du regard :

à avoir une bouche, n’est–ce pas ? Si

suis blessée !

s’est recroquevillé de peur

veux plus

la tête d’un air impuissant et a

avec Clément, moi

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