Chapitre 1895

Le chef de la caisse du supermarché a compris ce qui se passait. Il s’est dit :

« Alors, non seulement Mireille a eu une dispute avec ce client, mais en plus elle m’a menti devant le client, bon sang! Si je la garde ici pour ce travail, on ne sait pas combien de clients elle va offenser, et peut-être qu’elle va m’attirer des ennuis ! Pas question! Je dois la renvoyer !»

Il a dit sévèrement et sans hésitation:

Mireille, je t’ai donné ce travail par bonté, mais je ne m’attendais pas à ce que tu traites les clients aussi mal! Dans ce cas, remets les clés de la calsse, enlève ton uniforme et tu es virée !

Mireille était effondrée !

Elle s’est dit :

« Je suis venue ici tôt le matin pour chercher du travail et j’ai travaillé toute la matinée ! C’est presque l’heure du déjeuner, je voudrais me remplir l’estomac à la cantine et je ne pensais pas être renvoyée ! Maintenant, non seulement je ne mange pas, mais je ne suis pas payée !»

Dans ce cas, Mireille a pleuré et a supplié :

Monsieur ! S’il vous plaît, ne me renvoyez pas, j’ai besoin de ce travail pour faire vivre ma famille !

empressée d’attraper le bras du chef

mon fils sont à la maison, ils sont paralysés, ils n’ont pas mangé depuis hier et ils attendent que je gagne un peu d’argent pour venir à la maison et leur faire la cuisine! S’il

dit avec

ton

écriée :

! Je ne te mens

Kyan

frère, Hugo et ton neveu, ils sont tous estropiés maintenant, ce salaire est

fait la moue,

vraiment drôle, tu viens de dire que je suis ton beau-frère, et maintenant tu dis que j’ai un frère ? Le chef a hurlé de colère :

parts pas, je vais demander à la sécurité de te

jeté un regard

pourriez-vous régler le salaire de

On a juré:

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