Chapitre 1918

Lorraine a souri:

– Bien sûr que je lui ai menti, je voulais juste l’ennuyer.

Elle a continué,

Tu ne sais pas, elle aimait aller dans un restaurant haut de gamme pour le petit déjeuner avant, j’ai entendu dire que le restaurant était un favori de la famille royale dans le passé et que la nourriture était très chère, maintenant elle n’a pas d’argent, alors bien sûr je dois la mettre dans l’embarras.

Chloé a soupiré d’impuissance et a dit :

Grand-mère est si vieille, ce n’est pas la peine de l’embêter.

Lorraine a dit dédaigneusement:

Il y a des gens qui deviennent pires en vieillissant, quand j’étais à la maison de détention, elle n’arrêtait pas de me torturer, je ne vais pas la tuer maintenant, je tiens déjà compte de notre relation.

Chloé ne pouvait pas la convaincre et a dû changer de sujet,

Ok, alors qu’est-ce qu’on prend pour le petit déjeuner?

a dit

petit déjeuner, j’ai

dit cela, Lorraine a regardé Clément et lui a dit d’un

Clément, je te ferai quelque chose de délicieux quand j’irai mieux !

a souri et a dit :

ne suis pas difficile, tu ferais mieux de préparer des plats délicieux pour

Bien sûr

a dit en souriant

la grossesse, elle

dit d’un air timide:

Ne dis pas ça…

a dit avec un visage impassible,

Je ne dis pas de bêtises, j’ai de l’expérience dans ce domaine, tu dois faire plus attention à ton alimentation pendant cette période, ne fais pas comme moi et ne tombe pas enceinte avant d’être prête…

s’est

pourtant

continuer la conversation avec sa

quelques minutes,

Lorraine était surprise:

chez nous ? Elle n’est pas encore rentrée à la Cité

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