Chapitre 1971

À ce moment-là, Cédric, tout anxieux, était assis dans la salle de réunion du Département de la Police Métropolitaine à Tokyo.

Compte tenu la réputation et la puissance des Poincaré, le responsable du département s’est même dépêché d’y aller de chez lui pour l’accueillir en personne.

Voyant l’anxiété de Cédric, le responsable l’a réconforté :

– M. Cédric, nous avons fait chercher ta cousine à Nishitama-gun. Ne vous en faites pas. Une fois des traces trouvées, je vous dirai tout de suite..

Un soupir lancé, Cédric a caché son visage dans ses mains de douleur et a sangloté:

Gisèle est ma cousine unique, c’est mon cœur. Je vous prie de la sauver. J’espère qu’elle pourra

revenir saine et sauve !

En hochant la tête, le responsable l’a assuré :

monsieur. Nous nous efforçons de trouver votre cousine à tout prix !

vous suis tellement

est entré et a

est tombée dans le fond de la vallée. Il y

aussitôt. Il

le responsable, Gisèle

Oh… M. Cédric, je

visage, Cédric a

est si jeune… si jeune ! Pourquoi pas moi… pas moi ?

l’épaule de Cédric, prêt à le consoler.

personnes dans la voiture quand ils étaient sortis de l’hôtel, c’est-à-dire

levé la tête et a demandé, d’un air abasourdi:

? Un disparu?

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