Chapitre 2002

Frébric a poursuivi :

J

Gisèle voulait tellement développer l’entreprise qu’elle prenait les bénéfices pour les investir dans d’autres projets, et tes oncles, qui n’ont pas reçu assez d’argent, en sont toujours fâchés.

Frébric a ricané:

– Alors dans ce cas, si je leur propose de partager la fortune familiale, tes oncles ne refuseront pas. De plus, la majorité sera à nous.

Cédric ne pouvait s’empêcher de demander:

– Et s’ils demandent une part égale pour tous ? Ne les aiderions-nous pas alors au détriment de nos propres intérêts ?

et a

les deux options quand j’aurai piégé ton grand-père

option est que je sois le chef de famille et que j’essaie de développer

faisait Gisèle, auquel cas ils ne recevront toujours pas l’argent,

de leurs actions, j’accepte de vendre toutes les actions et ils pourront immédiatement gagner

plus de vingt milliards de dollars, même si nous vendons les actions d’une manière pressée, on peut les vendre pour vingt milliards,

et a dit :

ça ne change rien au fond,

Frébric était d’accord:

prêts à obtenir l’argent rapidement et à quitter, dans ce cas, ils n’auront plus besoin de plaire à ton

été

Amérique avant que la vérité soit exposée ! Tant que nous allons en Amérique, même s’ils savent la vérité sur ce qui s’est passé, ils

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