Chapitre 2089

Gisèle avait également des sentiments mêlés.

Elle était bien sûr dégoûtée par Frébric, Cédric.

Mais elle ne pouvait pas non plus les tuer.

Après tout, ils étaient ses parents et Gisèle ne voulait pas contrarier et altrister Philippe

Gisèle connaissait tellement Philippe et elle savait que son grand-père, bien que fâché, ne voudrait jamais qu’ils meurent.

En y pensant, Gisèle a regardé Clément et a dit:

Maître Clément, ils ont fait beaucoup de mal, mais ils sont, après tout, les membres des Poincaré et, mon oncle et mon cousin, et j’espère quand même que tu les laisseras en vie.

A cette déclaration, Frébric, Cédric et Phillipe ont poussé ensemble un soupir de soulagement.

c’était parce

que Gisèle n’ôte la vie à Frébric et à Cédric

ses idées et les vie du père et

dire cela, Philippe a été donc

a étouffé des sanglots, disant

! Je te remercie!

s’est aussi écrié en pleurant

Dieu te

anticipé cette scène et a déclaré en fixant Frébric et Cédric :

l’a dit, il est normal que je

a ajouté:

mais vous serez quand même punis pour tout ce que vous avez fait ! Frébric

allons nous rendre à la police pour nous dénoncer, la loi

Clément ! Nous y

Clément a ricané:

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