Chapitre 2228

Denise a répondu respectueusement au téléphone :

– Bonjour, maître, comment puis-je vous aider ?

Clément a souri et a dit :

Rien de spécial. C’est la même chose que nous avons discutée hier. Es-tu disponible ce soir ? Si oui, viens chez Joël pour une réunion. Lors du Nouvel An, vous êtes tous venus me voir, mais je ne vous ai pas invités à dîner. Je me sens coupable.

Denise a esquissé un sourire gêné et a répondu :

– Maître, pourquoi êtes-vous toujours si courtois envers nous ?

Clément a souri à nouveau et a expliqué:

Ce n’est pas une question de courtoisie. J’ai préparé un petit cadeau pour chaque personne. Ce n’est rien d’extraordinaire. Si tu as le temps, viens me voir. Si tu es trop occupée, je te l’enverrai ultérieurement.

En entendant cela, Denise s’est empressée de dire:

– Comment pouvez-vous vous abaisser à m’envoyer un cadeau ! Proposez-moi un horaire et un lieu, j’y serai ce soir.

a répondu

D’accord, je vous enverrai

répondu rapidement :

jeune maître !

elle s’est sentie un peu

Je ne pourrai peut-être pas rester très longtemps ce soir. Je devrai partir

s’en est soucié pas du

Ne te met pas en retard pour tes

a soupiré

intéressée par aucun repas. Son père était à l’agonie sur son lit, et à ce moment-là, même manger lui semblait inutile.

quelques gorgées d’eau, mais elle ne ressentait toujours aucune faim.

son patron, et il l’avait invitée avec tant de courtoisie, ce qui l’a fait sentir

a remis son téléphone dans sa poche et est

rapidement la porte. Elle a vu sa mère assise sur le canapé de la salle de séjour adjacente à la chambre, en

sourire.

furieuse à cet instant précis. Elle a réprimandé Walter avec

ces termes :

t’a autorisé à venir ici ? Qu’as-tu

esquissé un léger

The Novel will be updated daily. Come back and continue reading tomorrow, everyone!

Comments ()

0/255