Chapitre 2538

Didier a demandé avec joie :

– Que me veux–tu, Clément ?

Clément a dit franchement :

– Je voudrais te demander un service.

En l’entendant, Didier a dit sans hésitation:

– Oh, si je peux t’être utile, tu n’as qu’à me le dire hein! Moi, je ferai tout ce que je peux pour t’aider !

J’ai une mission urgente au Liban, a dit Clément, j’entends dire que tu as un Concorde, tu peux me le prêter ?

– Tu veux emprunter la Concorde?

Didier a hésité quelques instants et a dit en souriant:

– Clément, si tu veux emprunter un jet privé, j’ai un avion d’affaires Boeing très luxueux, les frais d’aménagement intérieur en ont atteint cent millions d’euros, c’est vraiment un palais du ciel ! Si je te prétais cet avion?

Clément a dit fermement :

n’emprunte que le

soupiré et

À vrai dire, ce Concorde est trop vieux, il est sorti d’usine en 1985, même bien plus âgé que toi… tu sais, la sécurité de l’avion diminue

euphémique des paroles

prêter un avion qui me permettra de voler de la Cité J

Quatre heures et demie ? a dit Didier avec embarras, c’est un délai très serré, y a–t–il la possibilité des

dit froidement :

aussi ma participation à la cérémonie d’offrandes aux ancêtres ! Après tout, puisque tu ne veux même pas me rendre un si petit service, je n’ai plus besoin

Clément, Didier a

te méprends, Clément ! Je te garantis que je veux bien te prêter le Concorde

alternativement de garde à l’aéroport et je leur ordonne aussitôt de s’envoler

dit d’un ton un peu

ce cas, je serai aussi à l’heure à la cérémonie

un soupir de soulagement et a

si tu as le temps, tu nous manques beaucoup !

dit

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après la

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